La state of affairs dans le sud du Liban et en Israël proceed de se dégrader à mesure que les combats s’intensifient, marquant une nouvelle étape dans l’escalade du conflit entre les forces israéliennes et le Hezbollah. En parallèle, des affrontements se poursuivent également dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, où des civils continuent de subir les conséquences des frappes et des offensives terrestres israéliennes.
Intensification des hostilités au sud du Liban
Depuis plusieurs jours, la région du sud du Liban est le théâtre de frappes aériennes intenses menées par l’armée israélienne. Les localités de Kafr Tibnit, Nabi Sheet, et d’autres villages du sud et de la vallée de la Békaa, comme Ali Al-Nahri et Al-Bazaliya, ont été ciblées. Ces raids ont causé des destructions importantes, notamment dans des zones résidentielles, et ont provoqué la mort de plusieurs civils libanais. Le Hezbollah, de son côté, a intensifié ses attaques contre les positions israéliennes à la frontière, notamment à Avivim et Maroun al-Ras. Dans une déclaration, l’organisation a revendiqué avoir infligé des pertes importantes à l’armée israélienne, en affirmant avoir détruit une power israélienne qui tentait de pénétrer dans le secteur de Labouna.
Des frappes aériennes israéliennes ont également touché la banlieue sud de Beyrouth, un bastion du Hezbollah, ainsi que plusieurs zones de la vallée de la Békaa. À chaque frappe israélienne, le Hezbollah répond par des tirs de roquettes, visant des localités israéliennes comme Avivim, Shlomi, et des villes dans la région de Galilée, au nord d’Israël. Ce jeu de représailles incessant a conduit à une escalade sans précédent des tensions dans la région.
Affect en Israël
De l’autre côté de la frontière, le nord d’Israël est également sous le feu des roquettes du Hezbollah. Des sirènes d’alerte retentissent quotidiennement dans les localités de Galilée occidentale, provoquant un climat de terreur parmi les populations civiles. La ville de Haïfa et ses environs ont été touchés à plusieurs reprises par des tirs de roquettes, obligeant les autorités israéliennes à maintenir les habitants dans des abris anti-bombes. La state of affairs à Haïfa est particulièrement préoccupante, avec des explosions signalées dans la région du Carmel et des alertes aux roquettes qui continuent de retentir.
Le bilan humain côté israélien proceed de s’alourdir. Selon les médias israéliens, plus de 35 soldats et officiers de l’armée israélienne auraient été tués, tandis que plus de 200 autres auraient été blessés depuis le début des affrontements. La ligne de entrance au nord, près de la frontière libanaise, est devenue l’un des principaux théâtres d’opérations pour l’armée israélienne, qui tente de repousser les incursions du Hezbollah.
Frappes en Cisjordanie et à Gaza
En parallèle à l’escalade au Liban, la state of affairs à Gaza est tout aussi alarmante. Depuis le début de l’offensive israélienne, les frappes se sont multipliées dans l’enclave palestinienne, notamment dans les quartiers de Shuja’iyya, Zeitoun, et Beit Lahia. Les raids ont causé la mort de nombreux civils palestiniens, avec un dernier bilan faisant état de plus de 2100 morts et plus de 1000 blessés depuis le début des hostilités. Les infrastructures civiles, y compris les hôpitaux, ne sont pas épargnées. Le centre médical Kamal Adwan, au nord de Gaza, a été ciblé à plusieurs reprises par l’artillerie israélienne.
Israël justifie ses actions en affirmant vouloir neutraliser les infrastructures militaires du Hamas et d’autres groupes militants palestiniens, mais les pertes civiles continuent d’alimenter les appels internationaux à la désescalade. L’armée israélienne mène également des incursions dans des villes de Cisjordanie comme Ramallah et Qalqilya, provoquant des affrontements violents avec les habitants.
Implication régionale et rôle du Hezbollah
Le Hezbollah, allié de longue date du Hamas, a réitéré son soutien inconditionnel à la trigger palestinienne et a intensifié ses attaques contre Israël en signe de solidarité. Le rôle croissant des groupes militants irakiens pro-Hezbollah dans le conflit est également notable. Plusieurs attaques par drones ont été revendiquées contre des cibles israéliennes, notamment dans le Golan occupé et dans le nord d’Israël.
La rhétorique du Hezbollah proceed de galvaniser ses partisans, avec des appels à la résistance face à ce que l’organisation décrit comme une agression israélienne contre la souveraineté libanaise. Hassan Nasrallah, chief du Hezbollah, aurait été tué lors d’une frappe israélienne selon des sources israéliennes, mais cette data reste non confirmée par des sources indépendantes.
Répercussions humanitaires
La state of affairs humanitaire dans le sud du Liban et à Gaza est critique. Des milliers de civils ont été déplacés en raison des frappes israéliennes, et beaucoup vivent dans des circumstances précaires. Les écoles et les hôpitaux sont surchargés, tandis que l’accès aux biens de première nécessité devient de plus en plus difficile. À Gaza, les hôpitaux fonctionnent à pleine capacité, et l’ONU a exprimé son inquiétude face à la détérioration rapide des circumstances de vie dans l’enclave.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme a appelé à la fin des hostilités, dénonçant les violations du droit worldwide humanitaire commises par toutes les events au conflit. L’évacuation des populations civiles, en particulier dans la banlieue sud de Beyrouth et dans la vallée de la Békaa, se heurte à des difficultés logistiques et à la persistance des frappes.
Efforts diplomatiques pour une désescalade
Face à l’escalade de la violence, des efforts diplomatiques sont en cours pour tenter de parvenir à un cessez-le-feu. La communauté internationale, sous la course de l’ONU, multiplie les appels à la désescalade. Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a récemment déclaré que le Liban et Israël se trouvent « au bord d’une guerre à grande échelle » et a exhorté les events à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale des États voisins. Les États-Unis, tout en soutenant les opérations israéliennes contre le Hezbollah, continuent d’appeler à des pourparlers indirects pour éviter une guerre plus vaste dans la région.
En parallèle, des pourparlers informels auraient lieu sous médiation française et égyptienne pour tenter d’établir un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah. Les diplomates français ont suggéré que la démilitarisation du sud du Liban et le retrait du Hezbollah au nord du fleuve Litani pourraient être des circumstances pour un cessez-le-feu. Cependant, ces propositions se heurtent à une opposition ferme du Hezbollah, qui proceed de revendiquer son droit à défendre la souveraineté libanaise.
L’Égypte, qui joue un rôle central dans les négociations concernant Gaza, a également averti que le déplacement massif de Palestiniens vers la frontière égyptienne serait un « ligne rouge » inacceptable, appelant à une resolution diplomatique sturdy basée sur la reconnaissance de la souveraineté palestinienne. Ces négociations restent toutefois incertaines, alors que la state of affairs proceed de se détériorer sur le terrain.