– Commercial –
Le principal événement des dernières heures reste les frappes israéliennes ciblées contre des infrastructures civiles et médiatiques au sud du Liban. Parmi les attaques les plus marquantes, les bombardements israéliens à Hasbaya ont causé la mort de trois journalistes, dont Wisam Qassem, un photographe de Al-Manar, et deux journalistes de Al-Mayadeen, Ghassan Najjar et Mohammed Reda. Cette frappe, selon les informations de NNA, Al Manar, et MTV, a également blessé plusieurs autres membres de la presse et choqué la communauté internationale, soulignant les risks auxquels sont confrontés les journalistes couvrant les conflits dans cette région instable.
Les frappes israéliennes, qui visaient des infrastructures civiles, soulèvent également des questions sur la safety des médias dans les zones de guerre. Al Jadeed et LBCI indiquent que des enquêtes sont en cours pour déterminer les responsabilités dans cet acte, qui est perçu par beaucoup comme une violation du droit worldwide. Reporters Sans Frontières a d’ailleurs réagi en condamnant ces attaques, appelant à des mesures immédiates pour protéger les journalistes sur le terrain.
Actualité locale et entrance
Le sud du Liban proceed d’être le théâtre d’intenses combats entre le Hezbollah et les forces israéliennes. Les villes et villages de Tyr, Bint Jbeil, et Chouaifet ont subi d’importants bombardements. NNA rapporte que les frappes israéliennes ont également visé des routes stratégiques, notamment à Masnaa, reliant le Liban à la Syrie, perturbant les transports et compliquant l’approvisionnement des ressources nécessaires. Al Jadeed confirme que ces frappes ont rendu de nombreuses routes impraticables, isolant certaines régions et limitant les déplacements.
D’après MTV, les forces israéliennes ont revendiqué l’élimination d’un commandant de la pressure Radwan du Hezbollah, accentuant la pression militaire. Cette frappe, qui a eu lieu lors d’un échange de tirs dans le sud du Liban, est vue comme une escalade majeure du conflit. Al Manar a également rapporté que des alertes aux missiles ont été déclenchées dans plusieurs villes israéliennes, notamment à Caesarea et Haïfa, à la suite de tirs croisés entre le Hezbollah et l’armée israélienne.
Les bombardements israéliens sur les villages libanais continuent d’infliger des pertes humaines et des destructions matérielles considérables. NNA a confirmé qu’une frappe israélienne sur le village de Khan Younès, au sud de Gaza, a fait 28 morts, intensifiant ainsi la crise humanitaire dans la région. Les infrastructures vitales, comme les hôpitaux et les écoles, sont gravement endommagées, et les habitants sont contraints de fuir les zones touchées.
Israël
Israël proceed de subir des pertes dans ce conflit. Al Manar et An Nahar rapportent que plusieurs soldats israéliens, dont deux officiers, ont été tués lors de combats avec le Hezbollah au sud du Liban. Ces pertes surviennent alors que l’armée israélienne mène des frappes intensifiées sur des cibles militaires et civiles dans le sud du Liban. Al Jadeedajoute que les infrastructures financières du Hezbollah, notamment le réseau Al-Qard Al-Hassan, ont été spécifiquement visées par des frappes israéliennes. Al-Qard Al-Hassan est une organisation de microfinance liée au Hezbollah, jouant un rôle essential dans le soutien financier des communautés chiites au Liban. Sa destruction pourrait affecter lourdement l’économie locale et la stabilité financière de nombreuses familles dans la région.
Les bombardements israéliens s’accompagnent de tirs d’artillerie lourde et d’attaques ciblées contre des infrastructures critiques. MTV a rapporté que des infrastructures électriques et des routes ont été détruites, paralysant certaines régions du sud du Liban. En réponse aux tirs de roquettes du Hezbollah, les forces israéliennes ont également intensifié leurs attaques dans plusieurs régions proches de la frontière libanaise.
Politique locale
Sur le plan politique, la state of affairs reste tendue au Liban. Le gouvernement libanais fait face à des pressions croissantes pour répondre à la crise, tout en gérant les relations diplomatiques avec les puissances internationales. LBCI et NNAindiquent que le Président du Parlement, Nabih Berri, attendait une réponse de l’envoyé spécial américain Amos Hochstein concernant la frontière sud, mais les frappes israéliennes ont répondu sur le terrain, intensifiant les hostilités. An Nahar ajoute que le Premier ministre Najib Mikati a appelé à des discussions urgentes avec les partenaires internationaux pour demander un cessez-le-feu immédiat.
La mise en œuvre de la résolution 1701 de l’ONU, qui appelle au désarmement du Hezbollah et au retour de l’autorité de l’État libanais sur le sud du pays, est au centre des débats. Cependant, avec la montée des tensions et l’escalade militaire, son software reste un défi majeur. MTV et LBCI soulignent l’significance pour le gouvernement libanais de trouver une resolution diplomatique pour éviter un effondrement complete de l’ordre sécuritaire dans la région.
Politique internationale
La communauté internationale tente d’intervenir pour désamorcer la crise. António Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a appelé à une paix globale pour résoudre non seulement le conflit au Liban et à Gaza, mais aussi d’autres conflits régionaux comme en Ukraine et au Soudan. Al Manar et An Nahar ont souligné que l’ONU s’inquiète de plus en plus d’une extension du conflit à la Syrie, notamment avec la présence de forces iraniennes et d’autres milices soutenues par Téhéran dans la région.
Le sommet de Paris a également été un second clé pour mobiliser des soutiens internationaux en faveur du Liban. Selon MTV, ce sommet a permis d’engager des promesses de dons s’élevant à 1 milliard de {dollars} pour soutenir l’armée libanaise et apporter une aide humanitaire d’urgence. Cependant, malgré cet engagement financier, les diplomates s’inquiètent de la durée prolongée de la guerre, qui risque d’aggraver la crise humanitaire.
Économie
L’économie libanaise, déjà gravement affaiblie par la crise financière en cours, est encore plus durement touchée par la guerre. Les frappes israéliennes ont endommagé des infrastructures vitales, y compris des ponts, des routes et des bâtiments commerciaux. MTV et NNA ont rapporté que la destruction de ces infrastructures aggrave la state of affairs économique déjà critique du Liban, paralysant l’accès aux marchés et limitant les importations essentielles de nourriture et de carburant.
De plus, l’inclusion du Liban sur la liste grise du GAFI (Groupe d’motion financière) pourrait restreindre davantage les investissements étrangers et la coopération financière internationale. Cependant, pour le second, les transferts financiers et les transactions internationales continuent sans interruption, bien que la confiance des investisseurs soit sévèrement ébranlée. LBCI a ajouté que l’impression de cette inclusion pourrait se faire sentir à lengthy terme, surtout si la guerre persiste et que les infrastructures financières, telles que Al-Qard Al-Hassan, continuent d’être ciblées.
Justice
Les attaques contre les journalistes à Hasbaya et dans d’autres zones du sud du Liban ont provoqué une indignation internationale. Al Manar et NNA rapportent que plusieurs organisations de défense des droits de l’homme, y compris Reporters Sans Frontières, ont exigé des enquêtes sur les attaques qui ont tué et blessé plusieurs journalistes. Ces frappes sont perçues comme une violation des conventions internationales protégeant les travailleurs humanitaires et les journalistes dans les zones de guerre.
En plus des enquêtes en cours, des appels ont été lancés pour traduire en justice les responsables de ces frappes, bien que la state of affairs sur le terrain complique l’accès à une justice immédiate.
Société
La state of affairs humanitaire au Liban s’aggrave de jour en jour. Al Jadeed et An Nahar rapportent que les bombardements israéliens dans le sud du Liban et à### Level sur la state of affairs au Liban et dans la région (de 20h hier soir à 9h ce matin)
À la Une – Focus sur le sujet principal
Le sud du Liban est plongé dans une state of affairs dramatique après une série de frappes israéliennes qui ont ciblé des civils, des infrastructures et des journalistes. Parmi les victimes, trois journalistes ont été tués lors d’une attaque à Hasbaya, dont Wisam Qassem de Al-Manar, et deux autres de Al-Mayadeen. Ces attaques, largement rapportées par NNA, Al Manar, et MTV, ont blessé plusieurs autres journalistes, provoquant une condamnation internationale. Ce ciblage des médias rappelle les risques croissants auxquels sont confrontés les reporters couvrant les conflits dans la région.
Actualité locale et entrance
Les frappes israéliennes se sont intensifiées, visant des villages comme Tyr, Bint Jbeil, et Chouaifet, avec des attaques qui ont également touché des routes stratégiques reliant le Liban à la Syrie, notamment à Masnaa. NNA et Al Jadeed rapportent que ces routes sont désormais impraticables, perturbant les transports et les approvisionnements en nourriture et en carburant. MTV et Al Manar ajoutent que l’armée israélienne a revendiqué l’élimination d’un commandant de la pressure Radwan du Hezbollah, ce qui a accru la stress militaire.
Israël
Les forces israéliennes continuent de subir des pertes dans les combats avec le Hezbollah. Al Manar et An Naharconfirment la mort de plusieurs soldats israéliens, dont deux officiers, lors des affrontements dans le sud du Liban. En réponse, Israël a intensifié ses frappes contre des infrastructures financières du Hezbollah, notamment le réseau Al-Qard Al-Hassan, d’après Al Jadeed. Ce réseau joue un rôle essential dans la microfinance au Liban, et sa destruction pourrait aggraver la state of affairs économique des familles chiites.
Politique locale
Sur le plan politique, le gouvernement libanais est sous pression pour gérer la crise. Nabih Berri, président du Parlement, attendait des réponses de l’envoyé américain Amos Hochstein sur la state of affairs à la frontière, mais les frappes israéliennes se sont intensifiées, rendant la diplomatie difficile. LBCI et MTV soulignent que la mise en œuvre de la résolution 1701 reste une priorité, bien que son software soit compromise par l’escalade des combats.
Politique internationale
L’ONU, par la voix de António Guterres, appelle à une paix globale incluant le Liban, Gaza, et d’autres zones de conflit. An Nahar et Al Manar rapportent que l’extension du conflit à la Syrie est une crainte grandissante, notamment en raison de la présence de milices soutenues par l’Iran. Le sommet de Paris a permis d’engager des soutiens financiers en faveur du Liban, avec 1 milliard de {dollars} promis, mais la durée de la guerre inquiète les diplomates internationaux.
Économie
L’économie libanaise souffre terriblement des bombardements. Des infrastructures vitales, telles que des routes, des ponts, et des bâtiments commerciaux, ont été détruites, paralysant certaines régions du sud du Liban et de la banlieue sud de Beyrouth. MTV et LBCI confirment que le Liban pourrait être inclus sur la liste grise du GAFI, ce qui affecterait la coopération financière internationale. Les investisseurs sont de plus en plus méfiants, bien que les transferts financiers ne soient pas immédiatement interrompus.
Justice
Les attaques contre les journalistes à Hasbaya ont provoqué une indignation mondiale. Al Manar et An Naharrapportent que des organisations de défense des droits de l’homme, comme Reporters Sans Frontières, exigent des enquêtes pour déterminer les responsables de ces frappes, perçues comme une violation des conventions internationales protégeant les journalistes.
Société
La crise humanitaire au Liban s’aggrave avec des milliers de déplacés fuyant les bombardements dans le sud du pays. Al Jadeed et An Nahar indiquent que les frappes israéliennes ont détruit des habitations et des infrastructures civiles, exacerbant la crise humanitaire. Les populations manquent de nourriture, d’eau et de médicaments, et la state of affairs devient de plus en plus critique dans les zones les plus touchées.
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