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Le Centre d’opérations d’urgence de la santé publique, affilié au ministère de la Santé publique du Liban, a publié son rapport quotidien concernant les conséquences de l’agression israélienne sur le pays. Selon ce rapport, les frappes israéliennes de la journée du mercredi 6 novembre 2024 ont causé la mort de 52 personnes et ont blessé 161 autres, aggravant le bilan humain et les souffrances de la inhabitants libanaise.
Bilan international depuis le début des hostilités
Depuis le début de l’offensive, le nombre de martyrs s’élève à 3 102 et celui des blessés à 13 819. Ce bilan témoigne de l’intensité des frappes israéliennes et de leur impression dévastateur sur la inhabitants civile et les infrastructures libanaises.
Détails par région et répartition des pertes
Le rapport fournit également une répartition des victimes par gouvernorat :
- Baalbek-Hermel : Une des régions les plus touchées avec un bilan de 36 martyrs et 67 blessés.
- Sud Liban : 13 martyrs et 21 blessés.
- Mont-Liban : Bien que moins affecté, on dénombre 3 martyrs et 47 blessés.
- Autres régions : Plusieurs autres gouvernorats, notamment Nabatieh, ont également subi des frappes, causant 3 blessés et des dégâts matériels considérables.
Impression sur le secteur de la santé
L’agression a eu un impression particulièrement lourd sur le secteur de la santé au Liban, où les infrastructures médicales sont sous pression constante :
- Perte de personnels et ressources : Le secteur de la santé déplore la perte de 179 membres, ainsi que 306 blessés parmi le personnel médical.
- Infrastructures endommagées : 244 véhicules médicaux, 86 centres de soins ambulatoires, et 40 hôpitaux ont été directement touchés. Les attaques contre les hôpitaux se sont multipliées, atteignant 64 frappes recensées, et 212 attaques ont été documentées contre les providers d’urgence.
Réaction du ministère de la Santé
Le ministère de la Santé publique appelle la communauté internationale à intervenir pour protéger les civils et les infrastructures sanitaires au Liban. La poursuite des frappes sur des installations médicales compromet gravement la capacité des équipes de soins à gérer les blessures et à sauver des vies.
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