– Commercial –
un classement qui reflète une inflation galopante
Selon l’indice du coût de la vie 2025 publié par Numbeo, Beyrouth se classe 7e parmi les villes les plus chères de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Ce classement, basé sur des critères tels que le coût des biens de consommation, des loyers, des eating places et des providers, reflète l’affect de l’inflation galopante et de la dévaluation de la livre libanaise sur le pouvoir d’achat des habitants.
Au niveau mondial, Beyrouth se situe au 180e rang, marquant une dégradation significative par rapport aux années précédentes, où elle était mieux positionnée grâce à une stabilité relative des prix.
une inflation report dans les dépenses essentielles
Les catégories ayant le plus contribué à l’augmentation du coût de la vie incluent :
- L’alimentation : Les prix des produits de base ont augmenté de 120 % entre 2023 et 2024, avec des hausses particulièrement marquées pour les produits importés comme les huiles alimentaires et les céréales.
- Les loyers : Bien que les loyers aient chuté en {dollars}, ils ont grimpé de plus de 60 % lorsqu’ils sont exprimés en livres libanaises.
- Les providers publics : Le coût de l’électricité, de l’eau et des télécommunications a plus que doublé, en raison de l’insuffisance des subventions gouvernementales.
Catégorie | Variation annuelle (%) |
---|---|
Alimentation | +120 % |
Loyers (en LBP) | +60 % |
Companies publics | +110 % |
une comparaison régionale
Dans le contexte MENA, Beyrouth est devancée par des villes telles que :
- Dubaï (1er) : Avec un niveau de vie élevé soutenu par une économie prospère.
- Doha (2e) : Où les salaires élevés compensent partiellement les coûts élevés.
- Riyad (4e) : Où les réformes économiques ont entraîné une augmentation des prix des biens et des providers.
La 7e place de Beyrouth est toutefois significative pour une économie en crise, marquant un contraste saisissant avec des villes plus stables économiquement.
les causes structurelles
Plusieurs facteurs expliquent cette hausse spectaculaire du coût de la vie à Beyrouth :
- La dévaluation de la monnaie : La livre libanaise a perdu plus de 95 % de sa valeur depuis 2019, augmentant le coût des biens importés.
- L’absence de contrôle des prix : Les marges élevées pratiquées par certains secteurs amplifient les pressions inflationnistes.
- La dépendance aux importations : Avec une manufacturing locale insuffisante, le Liban importe la majorité de ses produits de consommation.
des conséquences sociales et économiques
Cette inflation galopante a plongé plus de 80 % de la inhabitants en dessous du seuil de pauvreté, selon un rapport récent de l’ONU. Les ménages, dont les revenus n’ont pas suivi le rythme de l’inflation, consacrent désormais plus de 70 % de leur finances aux dépenses alimentaires et aux providers de base.
Par ailleurs, l’attractivité de Beyrouth en tant que vacation spot touristique et économique a fortement diminué, en raison des coûts élevés et de l’instabilité persistante.
des options pour alléger la pression
Pour améliorer la state of affairs, des réformes économiques profondes sont nécessaires, notamment :
- Soutenir la manufacturing locale : Réduire la dépendance aux importations pour stabiliser les prix.
- Réformer les subventions : Mieux cibler les aides pour alléger le coût des providers publics pour les ménages vulnérables.
- Encourager les investissements étrangers : Relancer les secteurs clés pour soutenir la reprise économique.
– Commercial –