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Le Hezbollah a récemment réagi à la possibilité d’un retrait partiel israélien du sud du Liban, évoqué dans le cadre des discussions liées à l’accord de cessez-le-feu en vigueur depuis novembre 2024. Israël aurait demandé à prolonger le délai de retrait de ses troupes, initialement fixé à 60 jours, de 30 jours supplémentaires pour « terminer des activités sécuritaires en cours » dans certaines zones stratégiques proches de la frontière libano-israélienne.
Selon le Hezbollah, tout retard ou retrait partiel constituerait une violation de l’accord signé, qui stipule un retrait complet des forces israéliennes jusqu’au-delà de la « ligne bleue ». L’organisation a mis en garde contre toute tentative d’Israël de conserver des positions dans certaines zones frontalières, telles que les collines de Kfar Shuba et le secteur de Rmeich.
Les déclarations officielles du Hezbollah
Dans un communiqué, le Hezbollah a déclaré : « Tout dépassement des délais fixés ou tout retrait partiel est inacceptable et sera considéré comme une violation flagrante de l’accord en cours. » L’organisation a ajouté qu’elle se réserve le droit de répondre « par tous les moyens appropriés » en cas de non-respect des termes de l’accord.
Le Hezbollah a également appelé l’État libanais à prendre une place ferme et à faire pression sur les garants internationaux de l’accord, notamment les Nations unies et les États-Unis, pour garantir son software stricte. Les représentants du mouvement ont insisté sur la nécessité d’obtenir des garanties écrites sur la date et les modalités du retrait.
Les enjeux stratégiques du retrait israélien
Le sud du Liban reste une zone stratégique, marquée par des décennies de tensions et d’affrontements. La présence proceed des forces israéliennes dans certaines zones est perçue par le Hezbollah comme une tentative d’affaiblir la souveraineté libanaise. En outre, le contrôle de ces zones est essentiel pour Israël afin de surveiller les activités du Hezbollah et de ses alliés.
Selon des sources militaires libanaises, l’armée libanaise et la FINUL (Pressure intérimaire des Nations unies au Liban) se préparent à prendre le relais dans les zones évacuées par Israël. Cependant, le déploiement complet des forces libanaises pourrait être retardé par des contraintes logistiques et des désaccords politiques internes.
Tensions croissantes et risques d’escalade
La state of affairs sur le terrain reste unstable. Des échanges sporadiques de tirs ont été signalés ces dernières semaines, en dépit du cessez-le-feu en vigueur. Selon des rapports récents, Israël a effectué plus de 600 violations de l’accord depuis sa signature, incluant des survols aériens et des tirs d’artillerie dans des zones proches de la frontière.
Le Hezbollah a répondu à certaines de ces provocations par des tirs de roquettes ciblés, augmentant le risque d’une escalade plus massive. L’organisation a averti que toute tentative israélienne de prolonger sa présence ou de contourner les clauses de l’accord pourrait conduire à une reprise des hostilités.
Réactions régionales et internationales
La communauté internationale swimsuit de près ces développements. Les États-Unis, en tant que principal garant de l’accord, ont exhorté les deux events à respecter leurs engagements et à éviter toute escalade. La France et d’autres membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont également appelé au maintien du calme et à une résolution diplomatique des différends.
Le gouvernement libanais, pour sa half, a réitéré son engagement en faveur de la mise en œuvre de l’accord et a demandé à la FINUL de surveiller de près les mouvements israéliens. Le Premier ministre a souligné que le retrait israélien est une situation essentielle pour rétablir la stabilité dans la région.
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