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Au Liban, un pays marqué par des années de turbulences économiques et politiques, la formation d’un nouveau gouvernement offre une lueur d’espoir. Ce développement essential survient dans un second où le pays se trouve à un carrefour, luttant non seulement contre une crise économique profonde, mais aussi contre les séquelles d’une instabilité politique chronique.
Toutefois, il est essentiel de garder à l’esprit que ce gouvernement, comme tous les autres, n’est pas parfait. Les hommes politiques qui le composent, malgré leur place et leur pouvoir et en général ils semblent avoir un profil plutôt intéressant à la vue de leur carrière professionnelle, restent des êtres humains : faillibles, susceptibles à l’erreur et, surtout, pas divins. Cette réalité devrait tempérer nos attentes et guider notre engagement en tant que citoyens. Et surtout, ils devront faire face à une classe politique plus traditionnelle mais aussi beaucoup plus ancrée dans la sauvegarde d’intérêts personnels. Cette classe politique plus traditionnelle a réussi jusqu’à présent à saborder toute tentative d’aller dans le sens des réformes, comme celles déjà formulées par le premier ministre désormais en exercice Nawaf Salam. Ces réformes sont les seules capables de débloquer l’aide internationale dont le Liban a si cruellement besoin. Il n’existe nulle autre different si ce n’est de laisser ce pays couler vers les abîmes.
Sur le plan économique, la scenario est en effet précaire. La dégradation attendue d’ici quelques mois seulement si le Liban n’arrive pas à mener à bien la réforme de son système financier est alarmante. Cette réforme est cruciale pour contrer les intérêts privés de certains hommes plus d’affaires que politiques, qui privilégient trop souvent leurs positive aspects personnels au détriment de l’intérêt public.
Il revient aux hommes politiques qui intègrent le nouveau gouvernement de démontrer une intégrité exceptionnelle et d’œuvrer, contrairement aux pratiques du passé, à l’intérêt public même quand il est contradictoire au leur. Ils se doivent de montrer l’exemple et d’accepter le sacrifice personnel nécessaire au bénéfice de l’intérêt général, tant les efforts à faire pour redresser le pays sont importants. Mais encore une fois, les résistances de cet institution traditionnel, cette ombre dans l’état, pourraient s’avérer être plus coriace que prévu.
En outre, le Liban proceed de faire face à des défis sécuritaires significatifs, exacerbés par la chute de Bachar el-Assad en Syrie, qui a ajouté une couche d’incertitude à une région déjà instable. Cette instabilité est compliquée davantage par des projets alarmants de déportation des Palestiniens de Gaza et éventuellement de Cisjordanie, des actions qui pourraient enflammer davantage les tensions régionales. Malgré le cessez-le-feu établi le 27 novembre, Israël n’a pas encore retiré ses forces du sud du Liban, laissant une région en état de suspens et d’incertitude. Cette occupation proceed affecte non seulement la sécurité mais aussi la stabilité politique et économique de la région.
La participation citoyenne prend ici une significance encore plus cruciale aujourd’hui, automobile les défis que le Liban doit relever sont monumentaux, notamment sur les plans économique, financier et sécuritaire. Chaque citoyen a un rôle à jouer, non seulement en votant ou en manifestant, mais en participant à la development du projet de société mais aussi à exprimer son soutien au travail de réformes profondes qui devront être entreprises. Ces réformes réclameront l’effort et l’acceptation de tous, mais aussi bien des sacrifices dont beaucoup n’ont nulle idée.
Que ce soit à travers des boards, des groupes de réflexion, ou simplement en étant informé et conscient des enjeux, chaque motion compte.
Les hommes politiques de ce gouvernement doivent prendre ces éléments en compte pour construire un projet de société rassembleur, qui ne vise pas à diviser davantage les Libanais pour mieux les asservir, mais plutôt à unifier et renforcer la nation face aux défis. Ils devront aussi compter sur le soutien de la inhabitants face aux mafias politiques et des affaires. Cela doit nécessairement contraster de manière on ne peut plus nette avec les approches divisives du passé, qui ont souvent exacerbé les tensions au lieu de les apaiser. Ces divisions visaient à détourner le regard sur les efforts à faire, sur les affaires à amener devant la justice, des diversions après diversions pour gagner du temps sans toutefois colmater les brèves qui menaçaient de faire couler le navire.
Dans ce contexte, le nouveau gouvernement libanais doit voir dans sa inhabitants non pas un adversaire, mais un partenaire essentiel. C’est avec cette philosophie de collaboration et de transparence que le Liban pourra espérer reconstruire un pays fragilisé par tant d’années de luttes et d’adversité.
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