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Le Liban, plongé dans une crise économique sans précédent, tente de trouver une subject à travers un accord avec le Fonds monétaire worldwide (FMI). Cependant, les circumstances imposées par l’establishment internationale sont perçues comme un fardeau social et politique, tandis que l’absence d’accord signifierait une détérioration encore plus grave de la state of affairs économique.
Le gouvernement de Nawaf Salam, en négociation avec le FMI, doit trouver un équilibre délicat entre réformes économiques, maintien de la stabilité sociale et préservation de la souveraineté financière. Avec un secteur bancaire en ruine, une monnaie dévaluée et une inflation galopante, le Liban est à la croisée des chemins.
Les négociations avec le FMI : un processus sous stress
Les discussions entre le gouvernement libanais et le FMI se poursuivent depuis plusieurs années, mais aucun accord définitif n’a encore été trouvé. L’une des principales raisons de ces blocages réside dans les exigences strictes du FMI, qui impose des réformes structurelles majeures en échange d’une aide financière.
Le ministre des Funds a récemment affirmé que les négociations avancent, mais que des garanties sont nécessaires avant toute signature définitive. Cela signifie que le Liban doit mettre en place des mécanismes de safety des déposants bancaires, restructurer le secteur financier et stabiliser la fiscalité.
Voici un résumé des principales exigences du FMI et leurs impacts attendus sur l’économie libanaise :
Exigence du FMI | Influence attendu sur l’économie libanaise |
---|---|
Réforme du secteur bancaire | Réduction des créances douteuses, restructuration des banques, compensation des pertes des déposants |
Unification des taux de change | Fin des multiples taux de la livre libanaise, stabilisation des transactions commerciales |
Réforme fiscale | Hausse de certaines taxes, réduction des subventions, meilleur contrôle budgétaire |
Réduction du déficit public | Privatisation partielle des entreprises publiques, restructuration d’Électricité du Liban (EDL) |
Lutte contre la corruption | Renforcement de la transparence, audit des comptes publics, limitation des financements opaques |
Ces circumstances sont jugées nécessaires par certains consultants pour restaurer la crédibilité économique du pays. Cependant, elles sont aussi supply d’inquiétude, automobile elles risquent d’aggraver la pauvreté et la précarité sociale, alors que la inhabitants souffre déjà de l’effondrement du pouvoir d’achat.
Une restructuration économique inévitable ?
Le FMI insiste sur la nécessité d’une restructuration en profondeur du système économique libanais, notamment du secteur bancaire, qui a joué un rôle central dans la crise actuelle.
En 2019, le secteur bancaire libanais s’est effondré, entraînant la perte de milliards de {dollars} d’épargne pour les citoyens. Aujourd’hui, la query clé est de savoir remark absorber ces pertes et si les banques, l’État ou les déposants devront supporter la facture.
Acteur impacté | Conséquences attendues de la restructuration bancaire |
---|---|
Petits déposants | Risque de pertes partielles de leurs fonds en {dollars}, compensations incertaines |
Grandes banques | Nécessité de recapitalisation, restrictions sur les transferts à l’étranger |
État libanais | Obligation d’indemniser partiellement les pertes bancaires, pression budgétaire accrue |
Le gouvernement souhaite répartir équitablement les pertes, mais les banques et les élites financières cherchent à limiter leur contribution, ce qui bloque les négociations.
De plus, l’inflation galopante et la dépréciation de la livre libanaise rendent toute réforme plus difficile. Actuellement, le taux de change fluctue quotidiennement, créant un climat d’incertitude économique qui dissuade les investisseurs étrangers.
Les défis politiques du gouvernement face aux réformes
Nawaf Salam est confronté à des résistances politiques majeures. Plusieurs forces internes considèrent les réformes du FMI comme une ingérence étrangère et s’opposent à toute concession qui affaiblirait l’État libanais.
Les principaux opposants sont :
Groupe politique | Place sur les réformes FMI |
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Bloc pro-souveraineté | Refuse toute réforme qui impose des sacrifices aux courses populaires |
Alliés des banques | Cherche à limiter la contribution du secteur financier |
Réformistes | Soutiennent l’accord avec le FMI mais demandent des compensations sociales |
Ce jeu d’affect complique l’adoption des mesures requises, retardant l’aboutissement des négociations et laissant planer un risque de crise prolongée.
Un avenir incertain : quelles views pour l’économie libanaise ?
La signature d’un accord avec le FMI pourrait permettre au Liban de stabiliser son économie, d’attirer de nouveaux financements internationaux et de rétablir une confiance minimale dans le système financier. Cependant, l’software des réformes sera un défi colossal, nécessitant une adhésion nationale et des mesures d’accompagnement social pour limiter l’impression sur les citoyens les plus vulnérables.
À l’inverse, un échec des négociations risquerait de :
- Dégrader encore plus la state of affairs économique
- Accélérer la fuite des capitaux et des cerveaux
- Exacerber les tensions sociales et politiques
Le gouvernement Nawaf Salam est donc au pied du mur, forcé de choisir entre des réformes douloureuses ou un effondrement économique irréversible.
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