Lors d’une réunion houleuse du cupboard israélien, une décision controversée a été prise concernant le maintien des forces de défense israéliennes (IDF) dans le Hall de Philadelphie, malgré les implications pour les négociations en cours sur la libération des otages détenus par le Hamas. La réunion a été marquée par une confrontation verbale intense entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le ministre de la Défense Yoav Gallant, révélant des divisions profondes au sein du gouvernement.
Le Débat Explosif
La décision de ne pas retirer les troupes du Hall de Philadelphie a été prise après un débat virulent, principalement entre Netanyahu et Gallant. Ce dernier a exprimé de vives réserves sur la stratégie proposée par le Premier ministre, soulignant que cette décision pourrait compromettre toute possibilité d’accord avec le Hamas pour la libération des otages.
Gallant a contesté la légitimité de la carte proposée par Netanyahu, affirmant que ce plan avait été imposé à l’armée contre son gré. « Ce ne sont pas les cartes que l’IDF voulait. Ils ont suggéré d’autres cartes. Vous les avez forcés à les accepter », a déclaré Gallant lors de la réunion. Netanyahu, visiblement agacé, a nié ces accusations, affirmant que les cartes avaient été approuvées dans l’intérêt de l’État.
Une Opposition Stratégiquement Risquée
Le Chef d’État-major, Herzi Halevi, et le chef du Mossad ont tous deux exprimé leurs préoccupations concernant cette décision, soulignant qu’elle pourrait compliquer les négociations déjà délicates. « L’IDF sait remark revenir sur le Hall de Philadelphie après six semaines de cessez-le-feu. Nous avons déjà assez de contraintes dans ces pourparlers, inutile d’en ajouter une autre », a déclaré Halevi. Le chef du Mossad a ajouté : « Il n’y a pas de logique à ce vote. Les pourparlers se concentrent sur le mécanisme de l’accord et non sur Philadelphie. »
Gallant a souligné que cette décision pourrait signifier l’abandon des otages, un choix qu’il a qualifié de moralement et stratégiquement discutable. « Vous votez que si nous avons deux choix, l’un de rester à Philadelphie et l’autre de ramener les otages, vous votez pour rester à Philadelphie. Cela a-t-il un sens pour vous ? Il y a des personnes en vie ! » a-t-il lancé.
L’Subject du Vote
Malgré les avertissements de Gallant, le vote a eu lieu, et la majorité des ministres a approuvé la décision de Netanyahu. Gallant a voté contre, tandis que le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, s’est abstenu. Gallant a averti que cette décision pourrait mettre en péril les négociations et compromettre la sécurité des otages. Le Premier ministre, cependant, a défendu sa place, affirmant que les raisons d’État justifiaient cette décision, même face à un dilemme ethical aussi grave.
Conséquences Potentielles
Il est clair que Netanyahu a choisi de suivre une stratégie qui va à l’encontre des recommandations de l’IDF et du Mossad. Cette décision pourrait bien condamner les pourparlers et compromettre la vie des otages. Alors que les négociations avec le Hamas sont à un second critique, cette place rigide du Premier ministre pourrait avoir des répercussions durables sur la sécurité nationale et sur la notion publique de sa gestion de la crise.
En conclusion, la réunion a révélé non seulement des divergences d’opinions au sein du gouvernement, mais aussi les tensions croissantes entre les impératifs sécuritaires de l’État et les considérations humanitaires liées aux otages. Le débat autour du Hall de Philadelphie n’est pas seulement une query de stratégie militaire, mais aussi un check du management de Netanyahu dans l’une des périodes les plus délicates de son mandat.
Transcript de la dialog:
Gallant : “Cela signifie que si le Hamas n’est pas d’accord avec cela, il n’y a pas d’accord et pas d’otages.”
Netanyahu : “Oui, c’est la décision.”
Gallant : “Ce ne sont pas les cartes que l’IDF voulait. Ils ont suggéré d’autres cartes. Vous les avez forcées sur eux.”
Netanyahu (criant) : “Je les ai forcées sur eux? Je les ai forcées sur eux?”
Gallant : “Évidemment. Ils avaient leur propre plan. Bien sûr, vous les avez forcés. Comme il n’y a pas de cupboard de guerre, nous entendons parler de tout après que cela soit arrivé. Vous les avez forcés et vous avez dit : ‘Ce sont les cartes.’ Ils les ont dessinées comme vous le vouliez. Ils avaient une place différente.”
Netanyahu (frappant sur la desk) : “Je veux un vote immédiat sur les cartes.”
Chef d’État-major Halevi : “L’IDF sait remark entrer et revenir à la route de Philadelphie après six semaines de cessez-le-feu. Nous avons assez de contraintes dans ces pourparlers. Nous n’avons pas besoin d’en ajouter une autre.”
Chef du Mossad Halevi : “Il n’y a pas de logique à ce vote. Les pourparlers se concentrent sur le mécanisme de l’accord et non sur Philadelphie.”
Gallant : “Vous votez que si nous avons deux choix, l’un de rester à Philadelphie et l’autre de ramener les otages, vous votez pour rester à Philadelphie. Cela a-t-il un sens pour vous ? Il y a des personnes en vie!”
Ministre des Affaires stratégiques Dermer : “Le Premier ministre peut décider de ce qu’il veut.”
Gallant : “Le Premier ministre peut prendre toutes les décisions et décider d’exécuter tous les otages aussi.”
Autres ministres : “Remark parlez-vous au Premier ministre?”
Gallant : “En fin de compte, vous recevrez votre dictée de Sinwar et vous reculerez.”
Netanyahu (criant) : “Je ne reçois aucune dictée.”
Gallant : “Vous prenez une décision que si le Hamas dit non à cela – Vous abandonnez les otages. Je voterai contre cela. Premier ministre, si Sinwar vous met dans un dilemme : soit vous quittez Philadelphie, soit vous ramenez les otages – que faites-vous?”
Netanyahu : “Les raisons de rester sont des raisons d’État.”
Gallant : “Si les considérations sont d’ordre d’État en elles-mêmes, c’est bien. Mais si elles sont opposées à la vie de 30 personnes, que faites-vous?”
Netanyahu : “Je reste à Philadelphie. Seule une négociation déterminée le fera céder.”