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Le Liban a récemment convenu avec le médiateur américain Amos Hochstein d’un projet d’accord concernant la mise en œuvre de la Résolution 1701 de l’ONU, en vue de renforcer le cessez-le-feu avec Israël. Cependant, malgré la transmission de cette proposition à Israël, aucune réaction n’a été reçue pour le second, selon Ali Hassan Khalil, aide du président du Parlement libanais, Nabih Berri. Dans une interview accordée à Al-Jazeera, Khalil a souligné que le Liban reste engagé dans l’software stricte de la résolution, tout en étant favorable à une participation américaine et française dans le processus de surveillance.
Progrès du Dialogue sous la Médiation Américaine
Le médiateur américain Amos Hochstein, chargé de faciliter les discussions entre le Liban et Israël, a partagé un projet de formule d’accord avec les autorités libanaises. Ce projet, soumis ensuite à Israël, demeure sans réponse officielle. Selon Khalil, aucun nouvel échange n’a eu lieu entre Hochstein et le président du Parlement, Nabih Berri, bien que Hochstein ait assuré poursuivre sa mission pour parvenir à une entente entre les deux events.
Le Liban espère désormais recevoir une nouvelle model de l’accord comprenant une proposition finale. Cette attente traduit la volonté des autorités libanaises de progresser dans le renforcement du cessez-le-feu et d’obtenir des garanties pour une software conforme de la Résolution 1701.
Engagement Libanais envers la Résolution 1701 et Mécanismes de Surveillance
Ali Hassan Khalil a rappelé la place claire du Liban concernant la Résolution 1701, insistant sur la nécessité de mécanismes précis pour son software. Khalil a déclaré que le Liban n’a pas de réserves quant à une mise en œuvre littérale et stricte de cette résolution, qui exige entre autres le respect du cessez-le-feu entre le Liban et Israël et le déploiement de l’armée libanaise dans le sud du Liban.
La Résolution 1701, adoptée en 2006, a mis fin au conflit de 34 jours entre Israël et le Hezbollah. Elle appelle à l’arrêt des hostilités et à une présence unique de l’armée libanaise et de la FINUL (Pressure intérimaire des Nations Unies au Liban) dans la région frontalière. Depuis son adoption, le Liban insiste sur le respect de ses stipulations, tant du côté libanais qu’israélien.
Ouverture à une Surveillance Internationale Limitée
Bien que le Liban soit favorable à une participation de la France et des États-Unis pour surveiller la mise en œuvre de la résolution, des réserves ont été émises concernant la présence d’autres pays européens. Selon des sources médiatiques, le président du Parlement Nabih Berri s’opposerait à une implication de l’Allemagne et du Royaume-Uni dans la supervision du cessez-le-feu, craignant des interférences non souhaitées dans le processus de stabilisation régionale.
Cette préférence reflète la volonté du Liban de limiter les influences extérieures tout en acceptant des soutiens stratégiques des partenaires historiques comme les États-Unis et la France, perçus comme des alliés plus neutres dans ce contexte smart.
Prochaines Étapes : Vers une Négociation Délicate
Dans l’attente de la réponse israélienne et de la réception d’une nouvelle model de l’accord, les autorités libanaises espèrent un soutien diplomatique pour parvenir à un compromis. La mission de médiation de Hochstein constitue une étape cruciale pour clarifier les modalités d’software de la Résolution 1701 et instaurer des garanties pérennes de stabilité le lengthy de la frontière sud du Liban.
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