Le 16 septembre, la Journée internationale pour la préservation de la couche d’ozone nous rappelle l’significance de protéger notre atmosphère contre les substances nocives, comme les CFC (chlorofluorocarbures), responsables de la destruction de la couche d’ozone. Cette journée vise à sensibiliser les gouvernements et les populations sur l’urgence de cette trigger, marquée par la signature du Protocole de Montréal en 1987.
Une coïncidence inquiétante : l’incendie de la décharge de Bourj Hammoud
Cette année, au Liban, la commémoration de cette journée prend une résonance particulière en raison de l’incendie à la décharge de Bourj Hammoud, qui a ravagé la zone pendant plusieurs jours cette semaine. Alors que la défense civile a annoncé ce dimanche l’extinction totale des flammes après trois jours de lutte, cet événement rappelle la gestion défaillante des déchets dans le pays et ses répercussions sur l’environnement. L’incendie, qui a commencé jeudi soir, a provoqué d’importantes émissions de gaz toxiques, aggravant la air pollution de l’air dans cette région densément peuplée.
Ce sinistre souligne la fragilité des infrastructures libanaises en matière de gestion des déchets et l’influence de ces dysfonctionnements sur la qualité de l’air. L’émission de substances toxiques dans l’atmosphère, bien que locale, a des conséquences à lengthy terme, tant sur la santé publique que sur la destruction progressive de l’environnement, y compris la couche d’ozone.
Des leçons à tirer
L’incendie de Bourj Hammoud cette semaine est un exemple concret des défis auxquels le Liban est confronté en matière de gestion environnementale. Alors que le pays s’have interaction à respecter le Protocole de Montréal, de telles catastrophes environnementales montrent que des efforts supplémentaires sont nécessaires pour réduire la air pollution et adopter des pratiques plus durables. En ce sens, la Journée internationale pour la préservation de la couche d’ozone sert aussi de rappel sur la nécessité pour le Liban de renforcer ses politiques environnementales et de moderniser ses infrastructures, notamment dans la gestion des déchets et des gaz industriels.
La coïncidence de cette journée avec l’incendie de Bourj Hammoud est une opportunité pour repenser les actions à mener localement afin de réduire les émissions nocives et améliorer la qualité de l’air. L’adoption de mesures concrètes pour protéger l’environnement peut non seulement contribuer à la préservation de la couche d’ozone, mais aussi améliorer la vie quotidienne des habitants du Liban, particulièrement exposés à des niveaux élevés de air pollution atmosphérique.
Conclusion
Alors que le monde célèbre la Journée internationale pour la préservation de la couche d’ozone, l’incendie de Bourj Hammoud cette semaine vient rappeler la réalité des défis environnementaux au Liban. Il est impératif d’accélérer les réformes en matière de gestion des déchets et de air pollution atmosphérique pour protéger non seulement la couche d’ozone, mais aussi la santé publique et l’environnement au Liban.