1. Conflit militaire avec le Hamas et le Hezbollah
Les affrontements à Gaza et au sud du Liban continuent de dominer la presse israélienne. Selon The Occasions of Israel et Maariv, Tsahal a mené des frappes ciblées sur des infrastructures du Hezbollah situées à Beit Leaf et Deir Ams au Liban. Ces opérations ont visé à démanteler les capacités militaires du Hezbollah et à empêcher de futures infiltrations en Israël. En réponse, le Hezbollah a tiré des roquettes vers le nord d’Israël, touchant des localités telles qu’Arab al-Aramshe et Zrait.
Dans la bande de Gaza, les combats sont tout aussi intenses. The Jerusalem Publish rapporte que Tsahal a intensifié son offensive à Jabaliya, tuant plusieurs combattants du Hamas. Des pertes ont également été subies du côté israélien, avec la mort de trois réservistes dans des affrontements avec les forces du Hamas.
2. Scenario des otages israéliens
Les otages capturés par le Hamas lors de l’attaque du 7 octobre restent une priorité pour Israël. Selon The Jerusalem Publish, des manifestations ont eu lieu à Tel Aviv et Jérusalem, avec des protestataires réclamant que le gouvernement conclue un accord pour la libération des otages. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a réaffirmé qu’il n’abandonnerait aucune possibility pour faire pression sur le Hamas, critiquant notamment le rôle du Qatar dans les négociations pour la libération des otages. Ces déclarations ont cependant provoqué des tensions avec le Qatar, qui est un médiateur clé dans ces pourparlers.
3. Attaques contre la FINUL et Réactions internationales
Israël a été largement critiqué pour des attaques ayant touché des positions de la FINUL (Power intérimaire des Nations Unies au Liban). The Occasions of Israel et The Aviationist rapportent que des tirs de chars israéliens ont touché le quartier général de la FINUL à Naqoura, blessant deux Casques bleus. Israël avait demandé à la FINUL d’évacuer ses positions le lengthy de la frontière libanaise, ce que la mission de maintien de la paix a refusé. Le gouvernement italien, dont les troupes sont déployées au sein de la FINUL, a fermement dénoncé ces attaques. Le ministre de la Défense italien, Guido Crosetto, a exigé des explications de la half d’Israël et souligné l’significance de protéger les soldats de la paix.
La France a également exprimé sa profonde inquiétude, condamnant fermement les attaques israéliennes contre la FINUL. Le ministère des Affaires étrangères français a rappelé qu’aucune des 700 troupes françaises présentes dans la mission n’a été blessée, mais a demandé des explications à Israël, soulignant la nécessité de protéger les Casques bleus et de respecter le mandat de la FINUL, établi par la résolution 1701 des Nations Unies.
4. Tensions politiques en Israël
Sur le plan interne, Maariv rapporte que la gestion de la crise par le gouvernement Netanyahu est fortement critiquée, en particulier après les attaques du 7 octobre. Des enquêtes internes sur ces événements sont en cours, notamment sur le rôle du chef d’état-major Herzi Halevi. Des tensions sont apparues au sein de l’armée, avec des officiers supérieurs et des commandants se rejetant la responsabilité des échecs de sécurité. Le public israélien semble perdre confiance dans ses establishments militaires et gouvernementales, notamment à trigger de la lenteur de la réaction aux menaces du Hamas et du Hezbollah.
5. Réactions diplomatiques et internationales
L’incident impliquant la FINUL a également eu un influence sur les relations diplomatiques d’Israël avec ses alliés. Le Premier ministre italien Giorgia Meloni a réaffirmé l’engagement de l’Italie envers la mission de la FINUL et a appelé à la désescalade dans la région. La communauté internationale, notamment la France et l’Italie, a exprimé de vives préoccupations concernant la sécurité des troupes de la FINUL et a rappelé l’significance de respecter la résolution 1701, qui garantit la cessation des hostilités entre Israël et le Hezbollah.
La scenario au sud du Liban et à Gaza reste extrêmement tendue, avec des affrontements militaires quotidiens entre Tsahal, le Hamas et le Hezbollah. Parallèlement, les attaques contre la FINUL ont provoqué une vive réaction de la communauté internationale, mettant Israël sous pression pour protéger les forces de maintien de la paix. En Israël, les tensions politiques internes s’intensifient, alors que le public demande des comptes sur la gestion de la crise et la sécurité nationale.