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Dans une déclaration diffusée hier soir marquant la huitième commémoration du chief Mustafa Badreddine, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé la pérennité et les résultats tangibles des sacrifices des martyrs pour la trigger de la résistance. À travers ses propos, il semble tracer une voie proceed pour le Hezbollah, en lien étroit avec les dynamiques politiques et militaires de la région, notamment en Syrie et en Palestine.
Nasrallah a souligné que la Syrie, malgré les pressions pour tomber sous l’affect américaine et les défis d’un environnement worldwide hostile, reste ferme dans son soutien à la trigger palestinienne. Cette résilience syrienne, selon lui, a été cruciale dans la lutte contre les tentatives d’isolation et d’effacement de la Palestine de la mémoire collective arabe et mondiale.
Le chief du Hezbollah a aussi critiqué ouvertement les mouvements de normalisation avec Israël par certains États arabes, les accusant de signer le « certificat de décès » de la trigger palestinienne. Cela, a-t-il dit, contraste avec l’éveil worldwide à la query palestinienne, amplifié par les manifestations universitaires en Europe et aux États-Unis, ainsi que les récentes dynamiques aux Nations Unies appelant à un cessez-le-feu.
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Nasrallah a également évoqué l’picture d’Israël sur la scène mondiale, critiquant sa politique comme celle d’un état brutal vis-à-vis des civils à Gaza et dans le sud du Liban. Il a analysé la state of affairs comme un échec stratégique pour Israël, notamment dans son incapacité à briser la volonté de la résistance palestinienne, malgré un soutien occidental considérable.
Les commentaires de Nasrallah interviennent dans un contexte où les fronts de Gaza et du Liban montrent une coordination accrue, démontrant une solidarité et une résilience qui, selon lui, façonnent un nouvel équilibre régional. Il a souligné que le choix d’Israël se limite maintenant entre accepter la médiation et reconnaître sa défaite, ou continuer dans un conflit où il ne peut qu’échouer.
En parlant de la Syrie, Nasrallah a plaidé pour une levée des sanctions pour aider à la reconstruction du pays et a insisté sur la nécessité d’un dialogue avec les gouvernements occidentaux pour faciliter le retour des réfugiés syriens. Il envisage les prochaines réunions du parlement libanais comme une opportunité pour aborder sérieusement le file des réfugiés.
Nasrallah conclut son discours en appelant à une prise de place libanaise unifiée pour promouvoir une resolution volontaire au problème des réfugiés, suggérant que cela pourrait changer la dynamique avec l’Occident concernant les politiques de migration et l’aide financière.
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