L’enseignement des enfants syriens en state of affairs irrégulière au Liban est un sujet de controverse qui touche profondément les milieux politiques et éducatifs du pays. À la suite d’une décision du gouvernement libanais, il a été permis aux étudiants syriens de s’inscrire dans des écoles et des instituts strategies même sans permis de séjour valide.
Cela a déclenché une obscure de critiques, notamment de la half de partis politiques comme le Courant patriotique libre (CPL), dirigé par Gebran Bassil, qui affirme que cette décision favorise la régularisation de la présence syrienne au Liban, ce qui pourrait mener à leur intégration permanente. Bassil a particulièrement insisté sur le fait que cette mesure, adoptée en l’absence d’un président de la République, va à l’encontre des lois en vigueur sur le séjour des étrangers (LBCIV7).
D’un autre côté, le ministère de l’Éducation a précisé que l’enseignement offert aux enfants syriens est séparé de celui des enfants libanais, et que la remise des diplômes ne signifie pas une facilitation de leur résidence au Liban. En effet, le ministère a affirmé que la Route générale de la Sûreté générale est chargée de vérifier le statut légal de ces enfants une fois les diplômes délivrés (LBCIV7).
Cependant, la mesure a également suscité des préoccupations quant à l’influence sur le système éducatif libanais, déjà mis à impolite épreuve par des crises économiques et sociales majeures. En raison des difficultés économiques, les enseignants libanais ont mené plusieurs grèves, suspendant les cours pour les élèves libanais et aggravant les tensions face aux élèves syriens qui bénéficient du soutien de donateurs internationaux(HRW).