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Le 6 novembre, le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Naim Kassem, s’est adressé aux sympathisants de la Résistance à l’event du 40ème de l’assassinat de son prédécesseur Sayyed Hassan Nasrallah dans un discours dense et riche en messages de détermination. Dans ce discours, Kassem a abordé la state of affairs tendue entre le Liban et Israël, analysant les objectifs d’Israël et les stratégies de résistance qui, selon lui, permettront au Hezbollah et à ses partisans de surmonter cette nouvelle épreuve. En affirmant que le Hezbollah reste fermement ancré dans la voie de la Résistance face à l’occupation, Kassem a également détaillé les forces qui, selon lui, constituent le socle de cette organisation. Son message, destiné autant aux membres de la Résistance qu’au public libanais, hint un portrait complexe de la confrontation actuelle.
1. Une guerre perçue comme une offensive israélienne contre le Liban
D’entrée de jeu, Kassem décrit la state of affairs actuelle comme une « guerre israélienne offensive contre le Liban », mentionnant que ce conflit dure depuis plus d’un mois. Ce qu’il nomme « guerre de soutien » a été déclenchée en réponse au « Déluge d’Al-Aqsa », un terme utilisé pour décrire les récentes violences dans la région. Pour Kassem, cette offensive israélienne vise bien au-delà des simples conflits de frontières ; elle a pour however de « transformer le visage du Moyen-Orient ».
Dans son analyse, Kassem perçoit le projet israélien, soutenu par les États-Unis, comme un plan en trois étapes :
- Éliminer le Hezbollah,
- Occuper le Liban ou imposer une sorte de domination aérienne et sécuritaire similaire à celle exercée sur la Cisjordanie,
- Redessiner la carte géopolitique du Moyen-Orient.
Ces objectifs, selon Kassem, montrent qu’Israël vise à instaurer une nouvelle réalité régionale, qui ne se limite pas seulement à Gaza, à la Palestine ou même au Liban.
2. La power de la Résistance : une organisation et une idéologie résilientes
Kassem souligne que le Hezbollah repose sur trois piliers essentiels : une foi islamique solide, une volonté de sacrifice et des préparations militaires et stratégiques continues. Selon lui, les membres du Hezbollah puisent leur power dans leur croyance religieuse et leur engagement envers le martyr, un idéal qu’ils perçoivent non pas comme un désir de mourir, mais comme un refus de craindre la mort au service de la trigger.
Cette idéologie de la Résistance est renforcée par une infrastructure que Kassem décrit comme organisée, dotée de capacités en armement et de formations sophistiquées. Le Hezbollah, toujours selon lui, est prêt pour cette confrontation, ayant anticipé une doable guerre avec Israël dès la fin du conflit de 2006, renforçant ses ressources et sa préparation.
3. Les forces en présence : atouts et limites des deux camps
Dans son discours, Kassem examine les forces respectives de la Résistance et d’Israël. Pour le Hezbollah, les forces reposent sur l’« endurance spirituelle » et l’armement défensif, tandis qu’Israël possède trois atouts principaux :
- La capacité d’extermination : Kassem critique la violence et la brutalité israéliennes, notamment dans la manière dont Israël attaque les civils au Liban et en Palestine.
- La supériorité aérienne et technologique : Israël contrôle le ciel et les communications, un avantage qui permet de coordonner des attaques ciblées avec précision.
- Le soutien militaire des États-Unis : Israël bénéficie d’un soutien logistique et militaire fixed de Washington, avec des milliards de {dollars} en armements et un appui stratégique continu.
Malgré ces atouts, Kassem considère les deux derniers comme limités dans leur efficacité sur le terrain. Pour lui, la Résistance a démontré sa capacité de résilience malgré l’infériorité technologique, notamment en infligeant des pertes significatives à l’armée israélienne.
4. Le coût humain et social de la guerre : une solidarité nationale renforcée
Kassem met en avant l’significance de la solidarité entre le Hezbollah et la inhabitants libanaise, en particulier avec les déplacés qui ont dû fuir les zones de conflit. Pour lui, cette solidarité montre une unité nationale dans la Résistance, la inhabitants libanaise ayant choisi de ne pas céder face aux tentatives israéliennes de provoquer des tensions internes, notamment en essayant de diviser les Libanais entre ceux qui soutiennent et ceux qui rejettent le Hezbollah.
Il affirme que même les déplacés deviennent des acteurs de la Résistance en restant proches du mouvement, tandis que les communautés d’accueil se solidarisent en accueillant les réfugiés de guerre. Cette dynamique, explique-t-il, constitue une « défense de l’arrière » essentielle pour la Résistance, une forme d’appui social et ethical essential dans le cadre de la confrontation.
5. Les views de la Résistance : une détermination à lengthy terme
Le discours de Kassem se termine par une affirmation de la détermination de la Résistance à poursuivre le fight. Pour lui, seule une confrontation sur le terrain, tant militaire que symbolique, pourra amener Israël à cesser ses agressions. Il insiste sur le fait que le Hezbollah ne compte pas chercher de négociations ou de trêves by way of des pressions politiques internationales, y compris les élections américaines imminentes, qu’il juge sans impression direct sur la réalité du terrain.
Enfin, Kassem fait une allusion claire à la « promesse de victoire » du Hezbollah, qui selon lui, reste inébranlable grâce aux sacrifices des combattants et au soutien des communautés locales. Dans ses mots, la Résistance est une power « qui reste forte non pas par sa parité militaire avec Israël, mais par sa persévérance dans la lutte malgré les désavantages matériels ». La victoire, selon Kassem, viendra non seulement du champ de bataille mais également de la volonté rigid des partisans du Hezbollah, de toutes les générations.
Le discours de Naim Kassem
« Que les croyants placent leur confiance en Dieu. Dis-leur : « Qu’attendez-vous de nous, si ce n’est l’une des deux belles points ? Nous attendons, quant à nous, que Dieu vous frappe d’un châtiment de Sa half ou par notre essential. Attendez donc, automotive nous sommes aussi dans l’attente. » Louange à Dieu, automotive la victoire est toujours pour les croyants, qu’elle soit celle de la victoire ou du martyre. Notre chef et information, l’honorable Sayyed Hassan, que Dieu le bénisse, est un modèle de grand chief, ayant suivi la voie de Dieu et accompli de grands sacrifices. C’est un dirigeant inspirant, courageux, savant dans l’école du Walayah (autorité divine), symbole de la libération de la Palestine, un phare de steering. Ses paroles sont des lumières, ses positions une voie pour une vie honorable. Il est devenu un symbole de la résistance dans les cœurs partout dans le monde, reconnu par notre information, l’Imam Khamenei, comme un chief sans égal, une reconnaissance immense.
Notre chief a bâti un parti de résistance fondé sur les principes de l’islam authentique. Ce parti rassemble toutes les couches de la société : jeunes et vieux, hommes et femmes, libres et résistants, instruits et travailleurs, tous peuvent en faire partie. C’est un parti qui fight l’ennemi israélien et qui construit le pays à l’intérieur. Il a une construction organisée, présente dans tous les domaines culturels, politiques, sociaux, éducatifs et sanitaires. La résistance en est le cœur, avec une power et un braveness face aux ennemis les plus puissants. Il vivra par son martyre et continuera avec nous.
La résistance persistera et grandira. Il a reçu les plus grands honneurs, dont celui de chef de la résistance régionale et aimé des résistants et des libres du monde. Il a incarné l’amour d’al-Hussein, paix soit sur lui, et suivi son chemin. Il est le père du martyr Hadi, le martyr de la nation, et celui qui a ouvert l’ère des victoires.
Trois factors de discours :
Premièrement, la réalité de notre state of affairs. Nous faisons face à une guerre israélienne agressive contre le Liban depuis un mois et dix jours, dans le sillage du « Déluge de l’Al-Aqsa », qui a ouvert une nouvelle ère. Cette guerre est menée dans le however de démanteler le Hezbollah, d’occuper le Liban, et de redessiner le Moyen-Orient. Mais, depuis 2005, nous nous sommes préparés, en formation, en armement, et en effectifs, pour ce second.
Israël pensait pouvoir nous éradiquer en assassinant nos leaders, dont Sayyed Hassan Nasrallah. Cinq brigades totalisant soixante-cinq mille soldats se sont positionnées à la frontière, croyant que la résistance était décapitée. Mais ils se trompent, automotive ils font face à une résistance inébranlable, armée d’une foi solide et d’une préparation intensive. Leurs trois atouts sont l’anéantissement, la puissance aérienne, et le soutien inconditionnel des États-Unis. Pourtant, leur brutalité et l’armée à la frontière ne produisent pas les résultats escomptés.
Leur cruauté et leur violence, symboles de leur pouvoir, finissent par les affaiblir. Les résistants dans notre parti portent une foi solide, tournée vers la justice, la dignité, et la libération. Ils sont prêts à donner leur vie sans peur de la mort. Pour eux, être un martyr n’est pas chercher la mort, mais être prêt à se sacrifier sans crainte. Nos combattants sont prêts à tout second, avec le nécessaire en armement et en formation pour tenir tête à n’importe quel ennemi.
Israël, de son côté, mise sur trois éléments : l’anéantissement, la domination aérienne et l’appui complete des États-Unis. Leur puissance vient aussi du soutien militaire et technologique des Américains, mais cette power n’est pas infaillible. Sur le terrain, ils rencontrent une résistance déterminée et une inhabitants qui se tient ferme. Cette guerre n’est pas vouée à leur succès, et ce n’est pas avec la politique américaine qu’ils réussiront à atteindre leurs buts.
Nous ne comptons pas sur les tractations politiques ou sur les élections américaines, qu’il s’agisse de Harris ou de Trump, cela nous importe peu. Notre foi est placée sur le champ de bataille, où nous les attendons et où ils verront leur défaite. Les tentatives de démoralisation de la inhabitants libanaise par des expulsions et des déplacements sont vouées à l’échec automotive ces gens portent en eux l’esprit de résistance. Ce peuple est déterminé à se tenir debout, à protéger ses terres et à soutenir les résistants.
Résultat last attendu :
Enfin, la victoire est dans notre vocabulaire, pas la défaite. Les jeunes générations portent l’esprit de la résistance et montrent que la détermination est inscrite dans notre essence. Notre lutte est fondée sur la persistence, la persévérance, et la foi en Dieu. C’est cette voie divine qui nous mènera à la victoire, là où l’vanity de Netanyahu ne le mènera nulle half.
Lorsque l’ennemi décidera d’arrêter cette agression, nous serons prêts pour des négociations indirectes, sous l’égide de l’État libanais et du président Berri. La safety de la souveraineté libanaise restera notre situation sine qua non. Concernant l’incident de Batroun, je demande à l’armée libanaise de clarifier cette violation israélienne et de prendre place, même si cela signifie avouer leurs limites face à cet acte.
Nous avons causé de lourdes pertes à l’armée israélienne. Leur économie est perturbée, et ils peinent à restaurer leur picture dans le monde. Ils peuvent parier sur une guerre d’usure, mais qu’ils sachent que nous sommes prêts pour cela, qu’ils prennent le temps qu’ils voudront, nous resterons debout. Nous leur montrerons que ce peuple, qui a engendré Sayyed Hassan, est destiné à être victorieux. Le temps des défaites est révolu, et nous marcherons vers la victoire, même si elle doit être longue à arriver. Paix sur vous tous et que la miséricorde de Dieu vous accompagne. »
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