1. Actualité locale :
Affaire Ryad Salamé et ses répercussions sur le secteur financier :
L’affaire Ryad Salamé proceed de dominer l’actualité judiciaire au Liban. Selon Al Joumhouria, l’ancien gouverneur de la Banque du Liban, accusé de détournements massifs, fait face à des interrogatoires rigoureux, et la justice libanaise a intensifié ses efforts pour démêler les fils d’un scandale financier qui secoue le pays depuis des années. Les enquêtes autour de Salamé ne se limitent pas à l’appropriation illicite des 42 hundreds of thousands de {dollars} liés à des transactions d’”optimum”. En effet, selon des sources judiciaires citées par Al Akhbar, d’autres pistes explorent les mouvements de capitaux vers des locations européennes, notamment la France et la Suisse, où Salamé possède des propriétés et des comptes bancaires. Ce scandale reflète plus largement la crise de confiance dans les establishments financières libanaises.
D’après des analystes économiques, cités par Al Manar, cette affaire pourrait provoquer un bouleversement dans la manière dont la Banque du Liban est perçue, notamment en raison des suspicions d’implication d’autres hauts responsables du secteur bancaire, qui auraient profité des détournements et des placements douteux de la Banque. L’implication d’autres personnalités importantes, en particulier des conseillers de Salamé et des hommes d’affaires proches du système bancaire, est également évoquée dans cette enquête. Selon des articles de Al Akhbar, les révélations pourraient encore s’étendre, créant ainsi des répercussions judiciaires dans toute la sphère économique du pays.
Les tensions au Sud et les négociations à l’ONU :
Les affrontements entre Israël et le Hezbollah continuent d’alimenter une inquiétude croissante au Sud du Liban, où les échanges de tirs se multiplient. Le Premier ministre Najib Mikati a récemment appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à prendre des mesures plus fermes contre les “violations israéliennes des droits de l’homme”, après que des bombardements israéliens ont ciblé des civils et des infrastructures stratégiques au Liban, notamment dans les zones de Khiam et de Maroun al-Ras. Al Akhbar rapporte que cette initiative a été bien reçue par les membres de l’ONU, mais les divergences sur les moyens de désamorcer la scenario persistent.
Les tensions le lengthy de la frontière israélo-libanaise sont exacerbées par la scenario à Gaza, où le Hezbollah a intensifié son soutien aux Palestiniens, ce qui contribue à élargir le entrance des hostilités. Dans un communiqué cité par Al Manar, le Hezbollah a réaffirmé que toute attaque israélienne contre des civils libanais “recevra une réponse proportionnée”, une déclaration interprétée comme un avertissement direct à Tel Aviv. Le Liban est ainsi pris dans un engrenage de tensions qui menace de dégénérer en un conflit régional à grande échelle.
2. Actualité régionale :
La guerre à Gaza et ses implications pour le Liban et la région :
La guerre à Gaza entre Israël et le Hamas, qui s’étend désormais à la Cisjordanie et implique indirectement des acteurs régionaux comme l’Iran et la Syrie, a des répercussions profondes sur l’ensemble du Moyen-Orient. Selon Al Manar, les efforts pour instaurer un cessez-le-feu se heurtent à des obstacles majeurs, notamment le refus d’Israël d’accepter les situations du Hamas pour un échange de prisonniers et l’arrêt des bombardements sur Gaza. La scenario humanitaire dans l’enclave est critique, avec des centaines de milliers de Palestiniens déplacés, tandis que les frappes israéliennes continuent de détruire des infrastructures civiles vitales.
D’après Al Akhbar, le rôle du Hezbollah dans cette guerre est devenu essential, notamment en raison des attaques répétées contre des cibles israéliennes dans le nord d’Israël. Le Hezbollah semble vouloir maintenir une pression constante sur Israël sans pour autant déclencher un conflit généralisé, mais les risques d’escalade sont élevés. L’implication de la Syrie et de l’Iran dans la fourniture de soutien militaire au Hezbollah ajoute une dimension géopolitique dangereuse à cette scenario. Selon Al Manar, ces pays perçoivent la guerre à Gaza comme une opportunité de renforcer leur affect régionale tout en affaiblissant Israël.
Le rôle de la Syrie et de l’Iran dans le conflit :
La Syrie, sous la pression croissante des frappes israéliennes qui visent des bases militaires et des dépôts d’armes dans le cadre de la guerre contre le Hezbollah, se trouve au cœur de cette confrontation régionale. Al Akhbar rapporte que les frappes israéliennes, qui ont tué des dizaines de soldats syriens et des membres des milices pro-iraniennes, visaient à détruire les lignes de communication et les systèmes de défense aériens syriens. Israël justifie ces actions comme étant des mesures préventives contre d’éventuelles attaques de drones du Hezbollah. Cependant, ces frappes risquent de provoquer une réponse plus ferme de la Syrie, dont le gouvernement, selon des sources diplomatiques citées par Al Manar, pourrait intensifier sa coopération militaire avec l’Iran en représailles.
Efforts internationaux pour la paix :
Au niveau diplomatique, l’Union européenne, through Josep Borrell, et l’administration américaine, par l’intermédiaire du secrétaire d’État Antony Blinken, tentent de relancer les négociations pour un cessez-le-feu sturdy à Gaza. Les États-Unis exercent également une pression discrète sur Israël pour qu’il limite ses frappes afin de ne pas provoquer une guerre régionale qui impliquerait le Liban et l’Iran. Al Akhbar word que les efforts internationaux se concentrent sur la mise en place d’une médiation entre Israël et le Hamas, tout en évitant que le Hezbollah n’entre directement en guerre avec Israël. Cependant, les views de paix semblent lointaines, surtout en raison de l’intransigeance d’Israël et des divisions internes au sein de la communauté internationale sur la manière de gérer cette crise.
3. Actualité internationale :
Les négociations pour un cessez-le-feu à Gaza :
Les efforts de négociation menés par les États-Unis et l’Égypte pour mettre fin au conflit à Gaza sont dans l’deadlock. Al Joumhouria rapporte que les discussions se sont enlisées, notamment en raison du refus d’Israël de libérer certains prisonniers palestiniens en échange de soldats capturés par le Hamas. D’un autre côté, la scenario humanitaire proceed de se détériorer, avec un bilan humain qui dépasse désormais plusieurs milliers de victimes palestiniennes. Selon Al Manar, le Hamas a refusé de céder sur plusieurs factors essentiels des négociations, notamment la levée du blocus sur Gaza et la cessation des frappes israéliennes. Les views d’un accord de paix semblent donc minces, et certains observateurs craignent une extension du conflit au Liban, surtout si le Hezbollah intensifie son soutien militaire.
Immixtion des grandes puissances dans les pourparlers :
Dans ce contexte, des responsables des companies de renseignement occidentaux, notamment la CIA et le MI6, ont multiplié les contacts pour tenter de désamorcer la scenario. Selon Al Akhbar, William Burns, directeur de la CIA, a reconnu qu’il était peu possible qu’un accord de paix soit trouvé rapidement, compte tenu de la complexité des négociations. Il a cependant souligné l’significance d’un soutien continu aux initiatives diplomatiques, afin d’éviter que ce conflit ne dégénère en une guerre à grande échelle impliquant d’autres acteurs régionaux comme l’Iran ou la Turquie. Richard Moore, le chef du MI6, a également évoqué la nécessité de contrer l’affect iranienne, qui selon lui, joue un rôle clé dans la montée des tensions régionales.
Conclusion :
La revue de presse illustre la profondeur des crises qui affectent à la fois le Liban et la région. Les affaires de corruption locales, comme celle de Ryad Salamé, révèlent les fragilités structurelles du système financier libanais, tandis que le conflit à Gaza et les tensions au Sud du Liban montrent à quel level le pays est vulnérable aux bouleversements géopolitiques régionaux. Malgré les efforts diplomatiques internationaux, la scenario reste précaire, et les views de résolution semblent lointaines.