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Le 26 janvier 2025, le sud du Liban est en proie à une escalade dramatique des tensions, marquée par l’occupation proceed des forces israéliennes malgré l’échéance du cessez-le-feu. Les derniers chiffres rapportés par le ministère de la Santé libanais indiquent que 15 personnes ont été assassinées par les forces israéliennes, tandis que le nombre de blessés s’élève désormais à plus de 102. Cette state of affairs met en lumière les violations persistantes par Israël de la résolution 1701 et du cessez-le-feu signé en novembre 2024.
Bilan humain tragique : 15 morts et des dizaines de blessés
Les dernières informations rapportées détaillent le bilan des victimes des agressions israéliennes :
- Aitaroun : 2 morts (dont une femme) et 12 blessés.
- Blida : 1 mort et 2 blessés.
- Houla : 3 morts et 14 blessés.
- Markaba : 2 morts (dont une femme) et 12 blessés.
- Kfar Kila : 1 mort et 15 blessés.
- Dhayra : 1 soldat libanais tué.
- Mays al-Jabal : 7 blessés.
- Bani Hayyan : 2 blessés.
- Maroun al-Ras : 1 blessé.
- Shaqra : 1 blessé.
- Deir Mimas : 1 blessé.
- Rabta Latine : 1 blessé.
- Tayba : 2 blessés.
- Adaisseh : 6 blessés.
- Yaroun : 7 blessés.
Ce bilan inclut des civils désarmés, des femmes et des enfants, ainsi qu’un soldat libanais, tous victimes des tirs israéliens. Des témoignages locaux rapportent également des actes d’intimidation, comme des survols intensifs de drones et des tirs sporadiques visant à empêcher les habitants de rentrer dans leurs villages.
L’armée libanaise et la résistance en première ligne
L’armée libanaise a déployé ses unités dans plusieurs zones frontalières, notamment à Maroun al-Ras, Dhayra et Aitaroun, pour protéger les civils face aux agressions israéliennes. Dans une déclaration publiée sur « X », l’armée a affirmé : « Nous sommes aux côtés des citoyens contre l’ennemi israélien, qui proceed de refuser de respecter l’accord de cessez-le-feu et de se retirer des territoires libanais. » Malgré ce déploiement, Israël a poursuivi ses tirs, notamment sur les habitants de Kfar Kila présents sur la route de Bourj al-Moulouk, provoquant de nouvelles victimes.
Le député Hassan Fadlallah, depuis Aita al-Shaab, a salué la coordination entre l’armée, le peuple et la résistance, déclarant que « la résistance a combattu ici jusqu’au dernier jour, le peuple a ouvert la voie à l’armée libanaise, et ensemble, ils travaillent à libérer les villages restants. » Il a également dénoncé l’occupation persistante d’Israël et réitéré que « la souveraineté start ici, dans le sud. »
Déclaration de la FINUL : une state of affairs critique
La Power intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) a exprimé sa « profonde inquiétude » face à l’escalade en cours. Dans un communiqué, elle a indiqué : « Les situations ne sont pas réunies pour un retour sûr des civils dans leurs villages où l’armée israélienne est toujours présente. Nous appelons toutes les events à respecter la résolution 1701 et à éviter tout acte de violence prone de compromettre la stabilité. » La FINUL a déployé des forces supplémentaires, notamment dans la région de Mays al-Jabal, mais a rappelé que « la gestion des foules dépasse son mandat ». Elle a aussi souligné la nécessité de « retirer toutes les armes non autorisées au sud du Litani et de garantir la sécurité des civils. »
Solidarité nationale et marches de soutien
Dans plusieurs villes libanaises, comme Baalbek et Hermel, des marches de soutien ont été organisées en solidarité avec les habitants du sud. Des véhicules arborant les drapeaux libanais, ainsi que les emblèmes de la résistance, ont parcouru les rues, témoignant de l’unité nationale face aux violations israéliennes.
À Kfar Kila, les familles des victimes ont accueilli les habitants retournant dans leurs villages, malgré les tirs israéliens continus. Selon des témoins, les habitants ont bravé les avertissements et les agressions, affirmant leur attachement à leur terre et leur détermination à rester sur place.
Une state of affairs explosive malgré l’échéance passée
Alors que l’échéance du retrait israélien est dépassée, Israël proceed d’occuper des territoires libanais, prétextant des considérations de sécurité. Ces actions sapent les efforts diplomatiques visant à instaurer une paix sturdy. Le président Joseph Aoun a rappelé que « la souveraineté du Liban est non négociable » et a salué la résilience des habitants du sud. Cependant, il a également mis en garde contre « les conséquences graves de l’inaction de la communauté internationale face à ces violations flagrantes. »
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