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Le dernier assembly du bloc politique « Liban fort » (Lebanon Sturdy), présidé par le député Gebran Bassil, a abordé plusieurs questions stratégiques pour le pays, en particulier la query des réfugiés syriens et le vide présidentiel persistant. Ce rassemblement a donné lieu à des déclarations fortes concernant la politique intérieure et la gestion des relations avec la Syrie, tout en soulignant l’urgence de la mise en place d’un gouvernement efficace.
Le retour des réfugiés syriens : un file essential pour le Liban
Une des résolutions majeures de cette réunion a été la dialogue sur le retour des réfugiés syriens, un sujet devenu central pour le Liban en raison des conséquences économiques et sociales du nombre élevé de réfugiés présents sur son territoire. Le bloc « Liban fort » a exprimé son intention de prendre des mesures législatives pour faciliter ce retour, en soulignant que la chute du régime syrien avait levé les principaux obstacles à ce processus. En ce sens, le groupe a décidé de préparer un projet de loi visant à encadrer le retour des réfugiés et à définir les mécanismes nécessaires pour le rendre effectif.
Les membres du bloc ont également convenu de mener une série de rencontres avec les events prenantes concernées, tant au niveau du gouvernement libanais et des establishments sécuritaires, que des organisations internationales opérant au Liban. Ces discussions devraient permettre de garantir un cadre juridique et opérationnel adapté à la gestion de ce file smart, tout en répondant aux attentes des différentes events prenantes.
Un appel à l’unité nationale : entre relations avec la Syrie et souveraineté libanaise
En plus de la query des réfugiés, le bloc a réaffirmé son engagement pour le renforcement des relations entre le Liban et la Syrie, dans le respect de la souveraineté des deux États. Le communiqué a mis l’accent sur la nécessité de poser les bases d’une relation « égalitaire » et « respectueuse », en insistant sur la non-ingérence dans les affaires intérieures de chaque pays. Pour « Liban fort », il est primordial que les deux pays, historiquement liés par des facteurs géographiques et culturels, rétablissent un dialogue diplomatique constructif.
Le bloc a appelé à une réflexion sur la façon dont le Liban pourrait formuler sa politique vis-à-vis de la Syrie dans un cadre respectueux de la souveraineté et de la sécurité de chaque nation. Il a également rappelé que cette politique doit être unifiée au sein de la classe politique libanaise, en évitant toute division interne qui pourrait nuire à l’unité nationale.
L’unité interne : un impératif pour la stabilité politique et l’avenir du Liban
L’un des factors les plus importants de la réunion a été l’appel à une réconciliation nationale au Liban, afin de créer une atmosphère de cohésion entre les différentes composantes du pays. Le bloc a insisté sur le fait que la scenario politique ne doit pas être perçue comme une lutte entre différents groupes confessionnels ou politiques, mais comme un effort collectif pour assurer la stabilité et l’avenir du pays. Le principe d’« inclusion » a été au centre des discussions, avec l’accent mis sur le fait que chaque communauté doit se sentir respectée et intégrée dans le projet nationwide.
Dans ce cadre, le bloc « Liban fort » a souligné la nécessité de dépasser les divisions politiques pour permettre à la classe politique de s’unir en vue de rétablir un gouvernement secure et efficace. Cette unité est jugée essentielle pour soutenir l’adoption des réformes nécessaires, particulièrement en matière de gouvernance et de sécurité, et pour répondre aux attentes de la communauté internationale, notamment sur la mise en œuvre de la résolution 1701 de l’ONU.
L’élection présidentielle : un processus en suspens
Un autre level essential abordé durant la réunion a été la query de l’élection présidentielle. Le bloc a insisté sur l’significance de ne pas laisser passer l’opportunité de désigner un nouveau président lors de la session parlementaire prévue en janvier 2024. Pour « Liban fort », il est impératif que ce processus aboutisse à la désignation d’un président qui soit accepté par l’ensemble des Libanais, un choix « consensuel » et non le fruit d’une décision imposée par un groupe ou une faction particulière.
La nécessité d’un président ayant l’appui de toutes les events politiques a été largement soulignée, avec l’espoir qu’il puisse incarner l’unité nationale et engager le pays dans un processus de réformes et de reconstruction institutionnelle. Le bloc a également rappelé que la mise en place d’un gouvernement d’urgence et de réformes est une situation essentielle pour relancer les establishments de l’État et répondre aux exigences de la communauté internationale.
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