Dans le contexte d’une scenario sécuritaire extrêmement tendue au Moyen-Orient, le groupe Lufthansa a annoncé qu’il ne reprendrait pas ses opérations en Israël avant le début du mois de novembre. Cette décision intervient alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah proceed de s’intensifier, notamment avec des menaces d’invasion terrestre et une recrudescence des frappes aériennes dans la région.
Le groupe Lufthansa, l’une des plus grandes compagnies aériennes d’Europe, avait suspendu ses vols à vacation spot et en provenance d’Israël à la suite de l’escalade des hostilités, citant des préoccupations en matière de sécurité pour ses passagers et son personnel. Dans une déclaration publiée récemment, la compagnie aérienne a précisé que la suspension des opérations se prolongerait jusqu’au début de novembre, en fonction de l’évolution de la scenario sur le terrain.
Cette décision n’affecte pas seulement Israël, mais aussi le Liban, où les vols de Lufthansa sont suspendus depuis un sure temps déjà. Les tensions régionales, exacerbées par le conflit entre Israël et le Hezbollah, ont conduit à l’arrêt des vols vers Beyrouth, reflétant la gravité de la scenario sécuritaire qui domine toute la région.
Une décision dictée par la sécurité
La porte-parole de Lufthansa a déclaré que la priorité absolue de la compagnie reste la sécurité de ses passagers et de ses équipages. « Dans le contexte actuel, il est inconceivable d’assurer des opérations aériennes en toute sécurité vers et depuis Israël et le Liban », a-t-elle souligné. Cette suspension prolongée affectera non seulement les vols de Lufthansa, mais également ceux de ses filiales, telles que Swiss et Austrian Airways, qui opèrent également dans la région.
La décision de Lufthansa reflète les préoccupations généralisées de la communauté internationale concernant l’instabilité croissante en Israël, au Liban et dans la région plus largement. Alors que les frappes israéliennes se multiplient sur plusieurs fronts, y compris Gaza et le sud du Liban, les compagnies aériennes internationales évaluent de plus en plus la viabilité de leurs opérations dans ces zones sous rigidity. En outre, la scenario à l’aéroport Ben Gourion de Tel Aviv, souvent considéré comme une cible stratégique, reste critique avec plusieurs alertes aux missiles et des perturbations majeures dans les vols civils.