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Dans un contexte de conflit intense au Liban, les attaques israéliennes ont gravement impacté le secteur de la santé. Le ministère de la Santé publique libanais a documenté ces agressions, dressant un tableau sombre des violations du droit worldwide humanitaire. Le rapport présente un relevé des attaques contre les hôpitaux, les associations de secours et les centres de santé primaire, illustrant l’urgence de protéger les infrastructures de santé et les personnels médicaux.
1. Attaques sur les Hôpitaux : Détail et Gravité des Violations
Les hôpitaux libanais ont été particulièrement visés par des frappes aériennes israéliennes, et ce de manière répétée et directe. Ces attaques touchent non seulement des bâtiments essentiels pour les soins de santé, mais elles constituent également des violations flagrantes des accords internationaux, notamment les Conventions de Genève, qui imposent la safety des installations médicales en temps de guerre.
- Nombre d’attaques : 55 frappes directes recensées.
- Varieties d’impacts :
- Parmi ces 55 attaques, 36 frappes ont directement ciblé les buildings hospitalières.
- Dommages matériels : 24 véhicules de transport médical endommagés, incluant ambulances et véhicules de soutien.
- Fermetures forcées : 8 hôpitaux ont dû fermer complètement leurs portes, tandis que 7 autres fonctionnent partiellement.
- Bilan humain :
- Décès : 12 personnes, principalement du personnel de santé, ont perdu la vie.
- Blessures : 60 autres ont été blessées, dont plusieurs sont dans un état grave nécessitant des soins continus.
Les répercussions de ces attaques sont graves, non seulement en termes de pertes humaines, mais aussi en matière d’accès aux soins. En raison de la fermeture ou du dysfonctionnement partiel de certains établissements, les capacités hospitalières dans les zones de conflit ont été largement réduites, ce qui exacerbe les pressions sur les hôpitaux dans les régions non touchées par les bombardements.
2. Attaques sur les Associations de Secours et les Véhicules Médicaux
Les organisations de secours qui interviennent sur le terrain pour fournir une help immédiate aux civils blessés et aux déplacés ont également été ciblées par des frappes israéliennes.
- Nombre whole d’attaques : 201 agressions documentées contre les associations de secours opérant dans les zones de conflit.
- Bilan humain dans ce secteur :
- Morts : 151 membres du personnel des providers de secours ont été tués.
- Blessés : 212 secouristes ont été blessés dans l’exercice de leurs fonctions.
- Dommages aux véhicules et aux infrastructures :
- Ambulances endommagées : 158 ambulances touchées par les frappes.
- Véhicules de secours : 15 autres véhicules d’intervention d’urgence endommagés.
- Véhicules de pompiers : 57 véhicules de pompiers rendus inutilisables.
- Exemple spécifique : Lors d’une attaque dans le triangle Adaisseh-Taybeh-Rab Tletine, 8 secouristes ont été tués. Leurs corps restent inaccessibles automotive Israël refuse de permettre leur récupération, malgré les appels des familles et des organisations humanitaires.
Ces pertes humaines et matérielles affectent gravement la capacité des équipes de secours à répondre efficacement aux urgences. Les attaques ciblant les véhicules et personnels de secours nuisent au déploiement rapide de l’aide d’urgence et mettent en péril les vies des civils dans les zones de conflit.
3. Centres de Santé Primaire : Une Ressource Essentielle Compromise
Les centres de soins primaires, qui représentent un premier level d’accès aux soins pour les populations locales, ont également été la cible de frappes répétées, compromettant ainsi l’accès aux soins de base pour de nombreux Libanais.
- Nombre de centres touchés directement : 25 centres de santé primaire ont été directement visés.
- Fermetures : En raison de la state of affairs sécuritaire et des frappes aux alentours, 58 centres de santé primaire ont dû fermer, laissant des milliers de sufferers sans accès aux soins essentiels.
Ces centres jouent un rôle essential en fournissant des soins de base et en désengorgeant les hôpitaux pour les cas plus graves. Leur fermeture affecte la capacité du système de santé à prendre en cost les maladies courantes et les urgences mineures, augmentant ainsi la pression sur les hôpitaux qui fonctionnent déjà en state of affairs de crise.
4. Crise Humanitaire et Déplacements Internes
Le rapport indique que 190 975 personnes ont été déplacées vers des zones plus sûres en raison des bombardements intensifs et des combats continus, en particulier dans les régions du sud et de la banlieue sud de Beyrouth. Ces déplacements massifs aggravent la crise humanitaire en surchargeant les infrastructures d’accueil et en créant des besoins accrus en soins de santé, abris, nourriture et eau.
Réactions et Appels Internationaux
Lors de la conférence de presse, le ministre de la Santé publique, Dr. Firas Abiad, a fermement condamné ces agressions comme des « crimes de guerre », insistant sur le fait que ces attaques sont délibérées. Le rapport, transmis aux Nations unies et à la Croix-Rouge internationale, vise à inciter la communauté internationale à prendre des mesures. Les représentants des organisations humanitaires, présents lors de la conférence, ont également dénoncé l’inaction face à ces violations et ont demandé que des poursuites soient engagées contre les responsables israéliens pour non-respect des lois internationales de safety des personnels de santé et des civils.
Bilan-26-octobre
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