Les frappes sur la banlieue Sud de Beyrouth ont débuté vers minuit cette nuit du 7 au 8 octobre. Précédemment, les habitants du sud de Beyrouth, notamment dans les zones de Borj el-Barajneh et Haret Hreik, avaient reçu un avertissement d’urgence ce soir.
By way of un message partagé par le porte-parole de l’armée israélienne, Avichay Adraee, Israël a sommé les résidents des bâtiments spécifiquement identifiés sur des cartes d’évacuer immédiatement. Le tweet d’Adraee, largement relayé, indique clairement que ces bâtiments sont situés à proximité de « websites et d’intérêts affiliés au Hezbollah », qui seront ciblés dans les prochaines frappes de Tsahal. Appel à l’Évacuation Immédiate Selon le message, tous les résidents de ces zones sont invités à évacuer sans délai et à s’éloigner d’au moins 500 mètres des bâtiments ciblés.
Cette évacuation est décrite comme essentielle pour assurer la sécurité des civils et de leurs familles. Israël insiste sur le fait que ses frappes sont dirigées exclusivement contre les installations du Hezbollah, accusées d’exploiter les zones résidentielles comme boucliers humains.
Sur l’picture partagée dans le tweet d’Avichay Adraee, les bâtiments ciblés par les frappes israéliennes sont clairement localisés dans la banlieue sud de Beyrouth, plus précisément dans les quartiers de Borj el-Barajneh et Haret Hreik. Ces zones sont des bastions bien connus du Hezbollah, où de nombreuses infrastructures supposément affiliées à l’organisation sont situées. Les cartes présentes sur l’picture indiquent les emplacements précis des bâtiments, marqués en rouge, qui sont visés par les frappes imminentes de l’armée israélienne.
Les bombardements israéliens de Beyrouth durent depuis maintenant trois semaines, avec une intensité particulière observée hier. Les cibles présumées sont des installations militaires du Hezbollah et des infrastructures stratégiques, mais de nombreux civils se retrouvent piégés dans la violence. Ces frappes, qui visent les bastions présumés du Hezbollah dans la banlieue sud de la capitale, ont provoqué des destructions massives et un déplacement necessary de la inhabitants. Le quartier de Borj el-Barajneh, bien que densément peuplé, est devenu un centre névralgique de ces opérations militaires, et les craintes de nouveaux bombardements ne cessent de croître.