1. Conflit avec le Liban
La state of affairs sur la frontière nord d’Israël reste critique, avec une escalade des combats entre Tsahal et le Hezbollah. Selon Maariv et Yediot Aharonot, l’armée israélienne a intensifié ses frappes en réponse à des attaques du Hezbollah, notamment dans la région de Maroun el-Ras, où des roquettes ont été tirées en course d’Israël. Les forces israéliennes ont riposté en bombardant plusieurs positions du Hezbollah, causant des dégâts considérables. Cette montée en stress a poussé Benyamin Netanyahou à appeler la FINUL à se retirer des zones de fight, jugeant leur présence de plus en plus risquée.
Dans le même temps, The Instances of Israel rapporte que plusieurs villages du sud du Liban, proches de la frontière, se retrouvent pris au milieu des combats, avec des civils pris au piège dans des tirs croisés. Les actions du Hezbollah dans cette région visent clairement à provoquer Israël et à déstabiliser la région, bien que les combattants du groupe armé aient subi des pertes importantes dans les frappes de Tsahal. Le journal souligne que la capacité de résistance du Hezbollah, soutenue par l’Iran, reste un facteur clé dans la prolongation de ce conflit.
2. Conflit avec Gaza
La state of affairs à Gaza ne montre aucun signe d’amélioration. Haaretz et The Instances of Israel signalent que l’armée israélienne a intensifié ses frappes contre des cibles du Hamas, notamment des tunnels souterrains utilisés par les combattants pour lancer des attaques sur Israël. Les zones densément peuplées, comme le camp de réfugiés de Jabalia, ont été particulièrement touchées par les bombardements, ce qui a conduit à un nombre croissant de victimes civiles. Israël proceed de défendre sa place, affirmant que ces opérations visent à détruire les infrastructures du Hamas et à affaiblir ses capacités militaires.
En dépit des appels internationaux pour un cessez-le-feu temporaire, notamment de la half de l’Union européenne, Israël maintient sa ligne dure. Yediot Aharonot indique que des discussions ont eu lieu entre le président américain Joe Biden et Benyamin Netanyahou, Biden demandant à Israël de modérer ses attaques pour éviter une disaster humanitaire. Israël, cependant, refuse d’accéder à ces demandes tant que le Hamas reste une menace. Les pertes civiles à Gaza alimentent la critique internationale, mais Israël insiste sur le fait que le Hamas se sert de civils comme boucliers humains.
3. Diplomatie
Sur le plan diplomatique, Haaretz et Yediot Aharonot rapportent que les relations d’Israël avec les États-Unis restent solides, malgré des tensions liées aux appels à la modération. Antony Blinken, le secrétaire d’État américain, a exprimé à plusieurs reprises ses préoccupations quant aux frappes sur des zones civiles, notamment à Beyrouth, après un échange avec Joe Biden. L’administration Biden soutient toujours Israël, mais elle appelle à une plus grande prudence pour éviter une escalade plus giant dans la région.
En parallèle, les relations avec certains pays arabes, récemment normalisées grâce aux accords d’Abraham, sont mises à l’épreuve. Maariv souligne que certains émirats, bien que soutenant en général la place d’Israël, commencent à critiquer en privé l’ampleur des frappes israéliennes sur Gaza, craignant des répercussions sur la stabilité régionale. Cependant, les liens économiques avec ces pays restent pour l’instantaneous inchangés.
4. Économie
Les conflits au Liban et à Gaza ont un impression économique significatif sur Israël. Maariv et le Jerusalem Submit rapportent que les fermetures d’entreprises et les évacuations massives dans le nord du pays, ainsi que les perturbations dans les zones agricoles proches de la frontière libanaise, ont provoqué des pertes économiques estimées à plusieurs milliards de shekels. De plus, le shekel proceed de se déprécier par rapport au greenback, exacerbant les pressions inflationnistes déjà ressenties par les Israéliens.
Dans la bande de Gaza, les destructions d’infrastructures civiles et militaires représentent des pertes économiques considérables pour la région. Les views de reprise économique semblent limitées tant que le conflit se poursuit. Les investisseurs étrangers, auparavant attirés par la stabilité relative d’Israël, commencent à se retirer en raison de l’incertitude croissante.
5. Risques régionaux
Les risques régionaux continuent d’inquiéter les consultants israéliens. Haaretz et Yediot Aharonot ont mis en avant l’implication de l’Iran dans les récents événements, notamment à travers son soutien militaire au Hezbollah et au Hamas. L’Iran a fourni des missiles et des drones sophistiqués à ses alliés dans la région, augmentant ainsi les capacités offensives de ces groupes militants. Israël, en réponse, a renforcé ses systèmes de défense anti-missiles et prépare ses forces à une éventuelle escalade impliquant directement l’Iran.
Le Jerusalem Submit a également noté que d’autres acteurs régionaux, comme la Syrie, pourraient être entraînés dans le conflit si la state of affairs s’aggrave. Israël reste en alerte maximale, préparant ses troupes à intervenir rapidement en cas d’attaque directe ou indirecte de l’Iran. Les consultants s’accordent à dire que la région est à un level de basculement, et qu’une escalade majeure pourrait éclater à tout second si aucune answer diplomatique n’est trouvée rapidement.