L’ambassadeur israélien auprès des Nations unies, Gilad Erdan, a récemment fait une déclaration qui aurait dû choqué la communauté internationale, mais qui étrangement n’a pas fait les titres de la presse internationale : selon lui, le siège des Nations unies à New York « devrait être fermé et effacé de la floor de la terre ». Ces propos, au-delà de leur caractère incendiaire, posent une query cruciale quant à l’avenir de la diplomatie mondiale et au respect des establishments qui ont pour mission de préserver la paix. Cette rhétorique agressive ne fait qu’aggraver un climat worldwide déjà marqué par la violence, la guerre, et un dédain inquiétant pour le droit worldwide.
Dans le contexte actuel du conflit entre Israël et Gaza, qui a éclaté avec une intensité nouvelle le 7 octobre 2023, ces propos résonnent particulièrement mal. Depuis le début de ce conflit, les bâtiments de l’ONU à Gaza, ainsi que ceux d’autres organisations humanitaires, ont été la cible de nombreuses frappes israéliennes, causant la mort de plus de 150 humanitaires et bénévoles, tant locaux qu’étrangers. Des civils, dont beaucoup cherchaient refuge dans ces installations supposées protégées par le droit worldwide, ont également perdu la vie. Et pourtant, face à ce drame, le silence du monde reste assourdissant.
Une menace sérieuse ou une easy exagération ?
Certaines voix tentent de minimiser la déclaration de Gilad Erdan, la qualifiant de easy provocation. Cependant, menacer de détruire le siège des Nations unies, symbole du multilatéralisme depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, revient à saper les fondements mêmes des relations internationales. Si ces propos n’appellent pas à une motion imminente, ils n’en demeurent pas moins graves et révélateurs d’une tendance inquiétante à la dégradation des normes diplomatiques.
Le conflit israélo-palestinien, qui proceed de faire rage, sert de toile de fond à ces déclarations. Depuis le début des hostilités, Israël a intensifié ses frappes contre Gaza, provoquant une disaster humanitaire. Plusieurs installations de l’ONU et d’autres organisations humanitaires ont été touchées, causant la mort de plus de 150 travailleurs humanitaires, sans pour autant émouvoir les grandes puissances. Ces humanitaires, qui avaient pour mission d’apporter de l’aide et de protéger les civils, ont payé de leur vie leur engagement pour la paix et la dignité humaine.
Bombardements et destructions : un bilan humain et matériel alarmant
Depuis le 7 octobre 2023, les frappes israéliennes ont visé au moins 12 bâtiments affiliés aux Nations unies ou à d’autres establishments humanitaires opérant à Gaza. Parmi ces cibles : des écoles, des centres de distribution alimentaire, et des hôpitaux. Ces lieux, qui devaient offrir safety et soutien aux populations civiles, sont devenus des épicentres de la violence. Ces frappes ont causé la mort de plus de 200 personnes, parmi lesquelles se trouvent plus de 150 humanitaires.
Les Conventions de Genève, qui régissent le droit worldwide humanitaire, sont claires : les civils et les infrastructures non militaires doivent être épargnés. Les frappes contre ces bâtiments ne constituent pas seulement une tragédie humaine, elles représentent également une violation flagrante de ces principes. Pourtant, la communauté internationale semble indifférente face à cette escalade de violence contre des civils désarmés et des travailleurs humanitaires dévoués.
Une violation flagrante du droit worldwide
Les Nations unies, malgré leurs nombreuses critiques et imperfections, jouent un rôle essentiel dans la safety des populations civiles lors des conflits armés. Les attaques contre ses infrastructures sont non seulement illégales selon le droit worldwide, mais elles sapent également les efforts collectifs pour réduire les souffrances humaines.
Les Conventions de Genève imposent des obligations claires aux États, et notamment à Israël, qui en est signataire : protéger les civils et les infrastructures non militaires, telles que les bâtiments de l’ONU. Lorsque ces infrastructures sont ciblées, c’est bien plus qu’une violation des règles de la guerre, c’est une atteinte directe aux principes mêmes du droit humanitaire. Chaque attaque contre un bâtiment de l’ONU ou une establishment humanitaire est une attaque contre l’idée même que, même en temps de guerre, certaines normes doivent être respectées.
Les humanitaires qui ont péri dans ces frappes n’étaient pas des combattants. Ils étaient là pour soigner, nourrir et protéger les civils piégés dans un conflit qui les dépasse. Et pourtant, leur mort, loin de susciter l’indignation générale, semble être passée sous silence, noyée dans le flot incessant des nouvelles de guerre.
Une rhétorique dangereuse
Les propos de Gilad Erdan viennent ajouter une couche de violence verbale à une scenario déjà explosive. En appelant à la destruction du siège de l’ONU à New York, il remet en trigger l’existence même de cette establishment, qui, malgré ses faiblesses, reste l’un des rares boards où les nations peuvent se rencontrer et tenter de trouver des options diplomatiques aux crises mondiales.
Cette rhétorique, au-delà de son caractère provocateur, est dangereuse à bien des égards. Elle légitime implicitement l’utilization de la violence contre des establishments internationales et encourage une dérive vers l’isolement diplomatique. Si l’ONU devait disparaître ou perdre sa crédibilité, quel espoir resterait-il pour résoudre les conflits de manière pacifique ?
Ces déclarations ouvrent également la voie à une escalade verbale entre les nations, où la violence pourrait devenir le seul langage des relations internationales. Les propos d’Erdan ne sont pas seulement un affront à l’ONU, ils sont une menace contre le multilatéralisme, le droit worldwide et la diplomatie mondiale.
L’indifférence mondiale face à la mort des humanitaires
Le plus inquiétant, dans cette scenario, est peut-être l’indifférence mondiale face à la mort de ces 150 humanitaires. Ces hommes et ces femmes, souvent originaires de pays étrangers, avaient choisi de risquer leur vie pour aider les populations civiles à Gaza. Leur mort, loin de provoquer une imprecise d’émotion ou de condamnation internationale, semble avoir été presque oubliée.
La communauté internationale, pourtant prompte à condamner certaines violations des droits de l’homme, semble ici frappée d’une curieuse paralysie. Les grandes puissances, et notamment les États-Unis, sont restées silencieuses face à ces pertes humaines tragiques. Ce silence est d’autant plus préoccupant que les États-Unis, pays hôte du siège de l’ONU, devraient être les premiers à dénoncer de tels actes et à réaffirmer leur attachement aux principes du droit worldwide humanitaire.
Le rôle de l’ONU dans les conflits : indispensable mais fragilisé
Malgré ses faiblesses, l’Organisation des Nations unies demeure indispensable dans le contexte des conflits armés. Ses agences, présentes sur le terrain, fournissent une aide humanitaire vitale aux populations civiles et tentent d’instaurer un dialogue entre les events en guerre. Depuis le début du conflit à Gaza, l’ONU a joué un rôle central en acheminant de l’aide, en protégeant les réfugiés et en appelant à un cessez-le-feu.
Mais les attaques contre ses infrastructures montrent à quel level l’ONU est vulnérable. Elle dépend du soutien de ses États membres pour fonctionner et pour maintenir un semblant de paix dans un monde de plus en plus polarisé. Et lorsque des États comme Israël, soutenus par des alliés puissants, permettent à leurs représentants de menacer ouvertement cette establishment, c’est tout l’ordre mondial fondé sur le droit worldwide qui vacille.
Les déclarations de Gilad Erdan, qui appelle à la destruction du siège de l’ONU, sont non seulement choquantes, mais elles représentent également une menace grave pour la diplomatie internationale et le droit worldwide. La communauté internationale doit condamner fermement ces propos et rappeler que les Nations unies, malgré leurs imperfections, sont un rempart essentiel contre le chaos.
Cependant, ce silence étrange des États-Unis, qui abritent le siège de l’ONU à New York, est particulièrement troublant. En tant que chief du multilatéralisme et membre everlasting du Conseil de sécurité, les États-Unis devraient être les premiers à dénoncer de tels propos et à rappeler leur attachement aux principes de l’ONU et du droit worldwide humanitaire. Leur absence de réaction envoie un message inquiétant sur l’avenir de la diplomatie et de la coopération internationale. Il est pressing que la communauté internationale prenne la mesure de la gravité de la scenario et réaffirme son soutien à l’ONU et aux humanitaires qui œuvrent, souvent au péril de leur vie, pour préserver la dignité humaine dans les zones de conflit.