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Discussions approfondies avec les autorités libanaises
Morgan Ortagus, sous-envoyée spéciale des États-Unis pour le Moyen-Orient, a entamé des négociations à Beyrouth avec les plus hautes autorités libanaises, notamment le président Joseph Aoun et le Premier ministre Nawaf Salam. Selon Advert Diyar du 5 avril 2025, ces rencontres ont porté sur des enjeux critiques, avec un focus particulier sur le rôle du Hezbollah dans le paysage politique et militaire libanais. Ortagus a insisté sur la nécessité de désarmer le groupe, une exigence qu’elle a présentée comme non négociable pour Washington.
Situations précises imposées par Washington
Les États-Unis ont articulé des situations explicites lors de ces pourparlers, comme rapporté par Al 3arabi Al Jadid du 5 avril 2025. Morgan Ortagus a déclaré que tout soutien économique américain au Liban dépendrait de « progrès tangibles » dans le démantèlement des capacités militaires du Hezbollah. Elle a détaillé que ce soutien inclut des aides financières et des prêts internationaux, cruciaux pour un pays en crise économique depuis des années. Elle a également averti que sans avancées sur ce entrance, le Liban risquerait un « isolement croissant » sur la scène internationale, une menace perçue comme une tentative de forcer Beyrouth à plier.
Réponses fermes des dirigeants libanais through Al Liwaa
Les autorités libanaises ont opposé une fin de non-recevoir aux demandes américaines, selon Al Liwaa du 5 avril 2025. Joseph Aoun et Nawaf Salam ont rejeté l’idée d’un désarmement imposé du Hezbollah, arguant que cette query relève exclusivement d’un « dialogue nationwide » entre les factions libanaises. Al Liwaa cite leur place : « La stabilité du Liban ne peut être garantie sous la menace extérieure ; elle nécessite un consensus interne. » Ils ont souligné que céder à la pression américaine compromettrait la souveraineté nationale, un principe non négociable pour Beyrouth. Le journal rapporte que ces déclarations ont été interprétées comme une réponse directe aux propos d’Ortagus sur le soutien américain à Israël, perçus comme une forme d’intimidation diplomatique visant à isoler le Liban.
Contexte régional tendu selon Advert Diyar
Advert Diyar du 5 avril 2025 décrit un climat de rigidity maximale dans la région entourant la visite d’Ortagus. Le Liban est pris en étau entre des pressions internes, marquées par une crise économique et politique persistante, et des dynamiques régionales explosives impliquant l’Iran, Israël et leurs alliés respectifs. Le journal word que le Hezbollah, soutenu par Téhéran, reste un acteur incontournable au Liban, tant sur le plan militaire que politique, avec une affect renforcée par les récents conflits frontaliers avec Israël. La demande américaine de désarmement s’inscrit dans ce contexte de rivalités régionales, où Washington cherche à limiter la portée de l’axe iranien. Advert Diyar ajoute que les frappes israéliennes récentes sur le sud du Liban, bien que non détaillées dans l’édition, accentuent cette rigidity, rendant les négociations avec Ortagus particulièrement délicates pour Beyrouth.
Stratégie américaine détaillée face à l’Iran et au Hezbollah
La stratégie des États-Unis, telle que rapportée par Al Liwaa du 5 avril 2025, repose sur une volonté claire de contrer l’affect de l’Iran au Liban through le Hezbollah. Morgan Ortagus a déclaré : « Les États-Unis continueront à soutenir Israël pour garantir sa sécurité face à la menace que représente le Hezbollah. » Cette place, selon le journal, reflète un objectif de lengthy terme : démanteler les capacités militaires du groupe pour affaiblir l’axe Téhéran-Beyrouth-Damas. Al 3arabi Al Jadid précise qu’Ortagus a lié cette exigence à des incitations économiques, offrant une aide substantielle en échange de concessions, mais aussi à des menaces, comme un isolement diplomatique et financier si le Liban refuse de coopérer. Cette double approche – carotte et bâton – vise à forcer les autorités libanaises à agir contre le Hezbollah, perçu par Washington comme une extension directe de l’Iran dans la région.
Influence complexe sur la stabilité libanaise
La visite de Morgan Ortagus et les pressions qui l’accompagnent pourraient avoir des répercussions profondes sur la stabilité libanaise, selon une analyse détaillée de Al Liwaa du 5 avril 2025. Le refus catégorique de Joseph Aoun et Nawaf Salam de désarmer le Hezbollah sous injonction extérieure préserve la souveraineté nationale, mais maintient un statu quo fragile dans un pays déjà au bord de l’effondrement. Al Liwaa word que cette fermeté pourrait aggraver les tensions internes, notamment entre les factions pro- et anti-Hezbollah, dans un contexte où la crise économique limite les marges de manœuvre de l’État. Advert Diyar ajoute que la menace d’isolement worldwide brandie par Ortagus risque de couper le Liban de soutiens financiers vitaux, exacerbant une state of affairs où la inhabitants dépend de l’aide extérieure pour survivre. Al Liwaa évalue que cette pression américaine, bien qu’alignée sur les intérêts d’Israël, ignore la complexité du tissu politique libanais, où le Hezbollah preserve une base populaire et une légitimité difficulty de son rôle dans la résistance contre Israël, rendant toute tentative de désarmement forcé potentiellement explosive pour la cohésion nationale.
Efforts pour maintenir le dialogue
Malgré ces tensions, la diplomatie libanaise tente de préserver un canal de communication avec Washington, comme rapporté par Asharq Al Awsat du 5 avril 2025. Joseph Aoun a déclaré : « Le Liban défendra sa souveraineté avec détermination, mais reste ouvert à des discussions respectueuses de ses intérêts nationaux. » Cette place, selon le journal, reflète une volonté d’éviter une rupture complète avec les États-Unis, un partenaire historique malgré les désaccords actuels. Al Liwaa précise que cette approche vise à équilibrer la résistance aux pressions américaines avec le besoin de maintenir des relations bilatérales, notamment pour sécuriser une aide économique sans céder sur le file du Hezbollah.
Analyse détaillée des pressions through Al Liwaa
Les négociations menées par Morgan Ortagus à Beyrouth se sont déroulées dans une atmosphère de pression maximale, selon Al Liwaa du 5 avril 2025, qui cite ses propos sur le soutien indéfectible des États-Unis à Israël face au Hezbollah comme une tentative claire d’intensifier la coercition sur les autorités libanaises. Le journal rapporte que Joseph Aoun et Nawaf Salam ont répondu en réaffirmant que la query des armes du Hezbollah ne peut être réglée que par un dialogue nationwide interne, rejetant toute ingérence extérieure comme une menace directe à la stabilité du pays. Al Liwaa analyse que cette exigence américaine, conditionnant l’aide économique à des concessions sur le Hezbollah, place Beyrouth dans une place intenable : céder risquerait de déclencher une crise interne en défiant un acteur aussi puissant que le Hezbollah, tandis que résister pourrait entraîner un isolement diplomatique et financier, comme averti par Ortagus dans Al 3arabi Al Jadid. Le journal souligne que cette stratégie s’inscrit dans une volonté américaine de briser l’affect iranienne au Liban, mais elle sous-estime les dynamiques locales, où le Hezbollah bénéficie d’un soutien populaire significatif et d’une légitimité historique liée à sa résistance contre Israël. Dans le contexte régional décrit par Advert Diyar, marqué par des tensions croissantes avec l’Iran et des affrontements à la frontière sud, cette visite accentue les risques pour un Liban déjà fragilisé, où la stabilité dépend d’un équilibre délicat entre ses forces politiques internes, que la pression américaine pourrait bouleverser de manière imprévisible.
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