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Le président du Parlement libanais, Nabih Berri, a récemment pris la parole pour aborder plusieurs sujets cruciaux concernant le Liban. Parmi les thèmes principaux figurent les répercussions des événements récents en Syrie sur le Liban, la stabilité institutionnelle, et le file électoral présidentiel.
La Syrie : une menace pour le Liban ?
Selon Nabih Berri, les événements en Syrie n’ont pas encore eu d’affect direct négatif sur le Liban. Il a souligné que « jusqu’à présent, le premier bénéficiaire des développements en Syrie est Israël, suivi par la Turquie ». Ces propos reflètent une inquiétude sous-jacente concernant la dynamique régionale. Israël, selon Berri, pourrait capitaliser sur la fragilisation de ses voisins pour renforcer sa place géopolitique, tandis que la Turquie proceed d’étendre son affect dans la région.
Malgré cette analyse, Berri reste optimiste quant à la capacité du Liban à éviter les répercussions directes des conflits syriens. Cette place contraste avec celles de nombreux observateurs qui craignent des tensions sécuritaires et des pressions migratoires accrues.
Le rôle des accords internationaux dans la stabilité libanaise
Berri a rappelé le rôle essential joué par l’accord de cessez-le-feu, négocié avec l’aide des États-Unis et de la France, dans la préservation de la stabilité au Liban. Cet accord, selon lui, a permis d’éviter des « secousses » majeures dans un contexte régional fragile. En insistant sur la nécessité de « renforcer les mesures qui augmentent la résilience du Liban », il a appelé à une motion concertée pour restaurer l’efficacité des establishments nationales.
Dans cette perspective, le renforcement de la stabilité passe également par une coopération internationale soutenue, tout en réaffirmant l’significance de options internes pour garantir l’autonomie et la souveraineté du Liban.
Les élections présidentielles maintenues malgré les incertitudes
Le file présidentiel demeure au centre des préoccupations. Alors que des rumeurs circulent sur un éventuel report des élections, Berri a catégoriquement rejeté cette hypothèse. Il a déclaré que « le calendrier des élections reste inchangé, malgré les rumeurs concernant des demandes de report ». Il a ajouté que la tenue de ces élections est cruciale pour sortir de l’deadlock institutionnelle actuelle.
Les propos du président du Parlement se veulent rassurants quant au respect de l’échéance prévue. Il a affirmé avec confiance qu’un président sera élu lors de la prochaine session parlementaire, fixée au 9 janvier. Ce message vise non seulement à rassurer la inhabitants libanaise, mais également à répondre aux attentes de la communauté internationale, soucieuse de voir le Liban rétablir son fonctionnement institutionnel.
Coopération avec la communauté internationale
Berri a également souligné l’absence de pression externe en faveur d’un report des élections. Il a affirmé avoir un accord avec la « fee des cinq » (probablement une référence à des acteurs internationaux impliqués dans le suivi de la scenario au Liban). Aucune demande, qu’elle soit locale ou internationale, ne lui aurait été adressée pour repousser le scrutin présidentiel. Cette déclaration met en lumière l’significance des relations internationales dans le maintien de la stabilité politique du Liban, tout en affirmant que les décisions restent avant tout internes.
Un appel à la résilience nationale
Dans ses déclarations, Nabih Berri a également mis en avant la nécessité d’une résilience accrue de la half des establishments libanaises. Il a évoqué des mesures visant à renforcer leur fonctionnement et leur légitimité, malgré les défis actuels. Cette résilience, combinée à une stabilité institutionnelle, est essentielle pour affronter les pressions régionales et internes.
En outre, en refusant tout report des élections, Berri envoie un sign fort : il n’y a pas de place pour l’instabilité prolongée ou l’indécision. Cette place est cruciale pour maintenir un minimal de confiance publique dans un contexte où le Liban fait face à une crise économique et politique sans précédent.
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