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Le 24 décembre 2024, Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, a affirmé devant la Knesset : « Nous poursuivons une imaginative and prescient stratégique pour remodeler le Moyen-Orient en faveur de la paix et de la stabilité. » Cette déclaration intervient dans un contexte de tensions sans précédent, marqué par les violences dans la bande de Gaza, les frappes en Syrie, et une opposition croissante dans le monde arabe. Bien que Netanyahu présente cette imaginative and prescient comme une stratégie audacieuse pour la stabilité, ses actions sont largement perçues comme ayant provoqué une déstabilisation majeure dans la région. Depuis son retour au pouvoir, Netanyahu a intensifié les politiques militaristes et unilatérales, qui, loin de stabiliser le Moyen-Orient, ont exacerbé les tensions. Les récents massacres à Gaza, où des milliers de civils palestiniens ont péri sous les bombardements israéliens, illustrent cette approche. Ces actions, largement condamnées par la communauté internationale, sont souvent justifiées par Netanyahu comme des mesures de « sécurité nationale ». Cependant, elles sont perçues par de nombreux analystes comme des provocations ayant directement alimenté des cycles de violence, notamment l’attaque du 7 octobre 2023 par le Hamas, que certains attribuent à l’échec des accords Abraham à répondre aux aspirations palestiniennes.
Les accords Abraham : Une opportunité ou une trigger de tensions ?
Les accords Abraham, signés en 2020, sont souvent mis en avant par Netanyahu comme un pilier de sa imaginative and prescient stratégique. Ces accords ont permis une normalisation des relations entre Israël et plusieurs pays arabes, mais au prix d’un rejet massif de la half des populations arabes, qui y voient une trahison des droits palestiniens. Ce mécontentement populaire a renforcé les tensions internes dans des pays comme les Émirats arabes unis et Bahreïn, où des mouvements de protestation discrètement réprimés dénoncent ces accords comme une « capitulation ». De plus, les événements du 7 octobre 2023, où le Hamas a lancé une attaque coordonnée contre Israël, ont démontré les limites de ces accords. Plutôt que de renforcer la sécurité régionale, ils ont exacerbé les divisions et donné un prétexte à des mesures militaires encore plus brutales de la half d’Israël. Netanyahu justifie ses politiques en insistant sur la menace iranienne, qu’il présente comme la principale supply d’instabilité dans la région. Cette obsession pour l’Iran a conduit Israël à multiplier les frappes aériennes en Syrie, ciblant des convois d’armes et des infrastructures militaires soupçonnés d’être liés à Téhéran. Cependant, ces actions ont également provoqué des tensions avec des acteurs internationaux, notamment la Russie, impliquée militairement en Syrie.
La société israélienne face aux politiques de Netanyahu
La imaginative and prescient stratégique de Netanyahu semble également ignorer les conséquences internes de ses politiques. Les récents événements à Gaza et en Cisjordanie ont non seulement ravivé le conflit israélo-palestinien, mais ont également accru les divisions au sein de la société israélienne. Des manifestations massives ont éclaté à Tel Aviv et Jérusalem, dénonçant les réformes judiciaires de Netanyahu et son autoritarisme croissant. L’opposition, menée par Yair Lapid et Benny Gantz, accuse Netanyahu de sacrifier la démocratie israélienne sur l’autel de ses ambitions personnelles, tout en exacerbant les tensions régionales.
Des critiques internationales grandissantes
Sur le plan worldwide, les critiques contre Netanyahu se multiplient. L’Union européenne a condamné les bombardements à Gaza, qualifiés de disproportionnés et contraires au droit worldwide. Aux États-Unis, bien que l’administration Biden proceed de soutenir Israël, des voix au Congrès appellent à revoir l’aide militaire en raison des violations des droits humains. Ces pressions internationales, combinées à une opposition croissante dans le monde arabe, remettent en query la viabilité de la imaginative and prescient stratégique de Netanyahu.
Une région en quête de stabilité
Malgré ces défis, Netanyahu persiste dans son approche, misant sur une militarisation accrue et des alliances avec des puissances asiatiques comme l’Inde et la Chine pour compenser les critiques occidentales. Cette stratégie, bien qu’ambitieuse, risque d’aggraver l’instabilité régionale et de renforcer les oppositions internes et externes à Israël. Plutôt que de remodeler le Moyen-Orient pour la paix, les politiques de Netanyahu semblent avoir plongé la région dans une spirale de violence et d’incertitudes. En conclusion, la imaginative and prescient stratégique de Benjamin Netanyahu pour un Moyen-Orient steady apparaît plus comme une façade idéologique que comme une politique réaliste. En provoquant des conflits, en ignorant la query palestinienne et en déstabilisant ses propres alliances, Netanyahu risque de compromettre non seulement la sécurité régionale, mais aussi l’avenir démocratique et diplomatique d’Israël. Si cette imaginative and prescient devait se poursuivre sans ajustements significatifs, elle pourrait laisser derrière elle un Moyen-Orient plus divisé et instable que jamais.
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