– Commercial –
Le 10 novembre 2024, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a officiellement reconnu avoir autorisé l’attaque aux bipeurs contre le Hezbollah libanais en septembre dernier. Cette opération, sans précédent par son mode opératoire, a entraîné la mort de 12 personnes et blessé près de 2 800 autres au Liban.
Une opération technologique sophistiquée
Selon des responsables américains et d’autres sources, Israël aurait réussi à dissimuler de petits explosifs dans des bipeurs achetés par le Hezbollah, déclenchés à distance. Ces dispositifs, insérés à côté de la batterie, contenaient quelques dizaines de grammes de matériel explosif. Au whole, 5 000 bipeurs auraient été piégés, selon des sources de sécurité libanaises.
Impression sur le Hezbollah et la communication interne
Les explosions simultanées de ces bipeurs ont gravement perturbé les communications internes du Hezbollah, causant des pertes humaines significatives et semant la confusion au sein de l’organisation. Cette attaque a mis en lumière la vulnérabilité du Hezbollah face aux avancées technologiques israéliennes et a soulevé des questions sur la sécurité de ses canaux de communication.
Réactions internationales et régionales
La communauté internationale a exprimé des préoccupations quant à l’escalade des tensions entre Israël et le Hezbollah. Les Nations Unies ont appelé au respect des résolutions internationales visant à maintenir la stabilité au Moyen-Orient. Par ailleurs, le Hezbollah a promis des représailles, affirmant que cette attaque ne ferait que renforcer sa détermination à résister.
Les plaintes libanaises concernant cette attaque
En réaction à l’attaque aux bipeurs, le gouvernement libanais a officiellement déposé une plainte auprès des Nations Unies et de la communauté internationale, accusant Israël de violations répétées de la souveraineté libanaise. Le Liban considère cette attaque comme un acte de guerre, compromettant la stabilité déjà fragile du pays et constituant une violation des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, notamment la résolution 1701, qui interdit toute activité militaire hostile entre les deux pays.
Le président du conseil des ministres libanais et plusieurs responsables ont condamné cette opération, la qualifiant de « provocation dangereuse » qui expose le Liban à un risque de guerre accru. Le ministre des Affaires étrangères libanais a exhorté la communauté internationale à prendre des mesures pour condamner l’agression israélienne et rappeler Israël à ses obligations de respect de la souveraineté libanaise.
Conséquences pour la sécurité régionale
Cette opération marque une nouvelle étape dans les méthodes employées par Israël pour contrer les menaces posées par le Hezbollah. L’utilisation de applied sciences avancées pour infiltrer et perturber les communications internes de l’organisation pourrait avoir des répercussions sur les stratégies futures des deux events et influencer la dynamique des conflits dans la région.
– Commercial –