Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré mardi qu’il n’était “pas sure qu’il y aurait un accord”, rapporte The Instances of Israel. Lors d’une rencontre avec les familles des otages, Netanyahu a exprimé son doute quant à la conclusion d’un accord avec le Hamas, affirmant que si un tel accord devait être conclu, il “sauvegarderait les intérêts d’Israël”.
Un père d’otage, présent lors de cette réunion, a déclaré que Netanyahu semblait ne pas croire qu’un accord serait attainable à courtroom terme. Le Premier ministre a également souligné à ces familles que, lors de sa rencontre avec le secrétaire d’État américain Antony Blinken, il avait insisté sur le fait qu’Israël ne quitterait en aucun cas les corridors de Philadelphie et de Netzarim, zones stratégiques dans le sud de la bande de Gaza.
Pendant ce temps, six corps d’otages israéliens ont été retrouvés, augmentant le bilan des victimes civiles du conflit. Bien que la nature exacte de ces découvertes n’ait pas été précisée, elles marquent un nouveau coup dur pour les familles israéliennes affectées par la guerre.
Le bilan humain et la state of affairs à Gaza
Selon les derniers rapports, le bilan des victimes à Gaza dépasse désormais les 40 000 morts, une conséquence directe des affrontements violents et des frappes continues dans la région. La state of affairs humanitaire sur place est désastreuse, avec des infrastructures largement détruites, des pénuries d’eau et de nourriture, ainsi qu’un accès extrêmement limité aux soins médicaux.
Malgré les efforts internationaux pour obtenir une trêve, les hostilités se poursuivent. Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a entamé mardi une nouvelle tournée au Moyen-Orient pour faire avancer les discussions, après une rencontre avec Netanyahu en Israël. En Égypte, Blinken a rencontré le président Abdel Fattah al-Sissi et le ministre des Affaires étrangères Badr Abdelatty dans la ville côtière d’El Alamein, où al-Sissi a une nouvelle fois appelé à un cessez-le-feu et mis en garde contre le risque d’une guerre régionale.
Réactions internationales et tensions avec les États-Unis
Le Hamas a fermement rejeté les récentes déclarations du président américain Joe Biden, qui accusait le groupe de faire marche arrière sur un accord de trêve. Dans un communiqué, le Hamas a dénoncé les propos de Biden comme un “feu vert” donné à Israël pour poursuivre ses opérations militaires. Le mouvement a réaffirmé sa volonté de parvenir à un cessez-le-feu, accusant les États-Unis de soutenir les actions israéliennes, qualifiées de “crimes contre des civils sans défense”.
Dans ce contexte, les appels à la diplomatie se multiplient. Le président égyptien al-Sissi a exhorté toutes les events à “recourir à la sagesse” et à éviter une escalade régionale, tandis que Blinken proceed de pousser pour un retour aux négociations.
La state of affairs demeure extrêmement tendue, avec peu de signes indiquant une fin imminente du conflit, malgré les pressions internationales croissantes. Les discussions autour des otages et d’un potentiel cessez-le-feu resteront probablement au centre des négociations dans les jours à venir, tandis que les populations civiles continuent de payer un lourd tribut.
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