Les discussions en cours au Caire visant à instaurer une trêve à Gaza ont montré des progrès significatifs, a annoncé la Maison-Blanche ce vendredi, tout en exhortant Israël et le Hamas à aller de l’avant pour concrétiser ces avancées. Ces pourparlers interviennent alors que le conflit entre Israël et Gaza dépasse désormais les dix mois, marquant une période de grande instabilité et de violence pour les deux events.
La Maison-Blanche a confirmé la participation du directeur de la CIA, William Burns, ainsi que du haut responsable Brett McGurk, aux discussions qui ont débuté jeudi soir à un stade préliminaire. John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, a souligné que “des progrès ont été réalisés” et a appelé les deux events à se rassembler pour travailler vers la mise en œuvre des accords.
Kirby a ajouté que les premières discussions menées au Caire étaient “constructives”, exprimant l’espoir que cette dynamique optimistic se poursuive dans les jours à venir. Il a par ailleurs démenti les rumeurs selon lesquelles la diplomatie serait sur le level d’échouer, qualifiant ces informations d’”inexactes”.
Le rôle des États-Unis dans les négociations
Cette avancée intervient après la visite du secrétaire d’État Antony Blinken au Moyen-Orient, où il a affirmé que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait accepté une proposition américaine visant à combler les divergences et à parvenir à un cessez-le-feu. Kirby a insisté sur le fait que les États-Unis croient toujours que Netanyahu est favorable à cette proposition, même si le chef de l’extrême droite israélienne a exprimé son souhait de maintenir la présence militaire israélienne à la frontière entre Gaza et l’Égypte, un level de friction avec Washington et Le Caire.
Kirby a de nouveau appelé le Hamas à accepter la proposition qui avait été présentée la semaine précédente lors de discussions à Doha, au Qatar. Il a insisté sur les bénéfices pour la inhabitants de Gaza, évoquant “une période de calme” et “une potentielle fin de la guerre”. En cas de cessez-le-feu, l’aide humanitaire pourrait également être considérablement augmentée, offrant un soulagement immédiat aux civils affectés.
Les inquiétudes d’Israël concernant Hezbollah et les tensions au Liban
En parallèle des efforts pour calmer la state of affairs à Gaza, les tensions avec le Hezbollah au Liban continuent de peser lourdement sur les épaules du gouvernement israélien. Selon un rapport, Israël redoute qu’un conflit whole avec le Hezbollah ne survienne en raison des répercussions majeures que cela pourrait avoir, notamment dans un contexte où le pays traverse plusieurs crises militaires, politiques et économiques exacerbées par le conflit actuel.
Des diplomates occidentaux et arabes se préparent à visiter le Liban pour inciter le gouvernement à intervenir et dissuader le Hezbollah de riposter contre Israël après l’assassinat de son chef militaire Fouad Shukur. Toutefois, des sources diplomatiques à Beyrouth et New York estiment que les États-Unis ne sont pas pressés de voir un conflit majeur éclater, même si le retour au calme à Gaza et au Liban avant les élections présidentielles américaines semble peu possible.