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Le Liban traverse une des crises politiques les plus graves de son histoire, marquée par l’incapacité du Parlement à élire un président. Cette semaine, l’échec à parvenir à un consensus a amplifié les divisions internes et renforcé l’immobilisme des establishments. « Chaque jour sans président aggrave les défis auxquels le Liban est confronté », a déclaré un responsable politique anonyme, soulignant l’urgence de trouver une resolution pour éviter une escalade des tensions.
Les impacts sur l’économie et la société
Le vide présidentiel a des répercussions directes sur l’économie libanaise, déjà en pleine crise. La livre libanaise a enregistré une nouvelle baisse, aggravant l’inflation et la pauvreté. « Sans président, il est not possible de débloquer les réformes indispensables pour stabiliser l’économie », a averti un économiste native. Par ailleurs, les companies publics sont au bord de l’effondrement, alimentant la colère populaire. Des manifestations sporadiques se sont multipliées cette semaine, avec des slogans dénonçant l’incapacité des élites à répondre aux besoins fondamentaux des citoyens.
Les tensions communautaires en hausse
La paralysie politique exacerbe également les tensions communautaires, particulièrement entre les blocs soutenant des candidats opposés. La candidature de Sleiman Frangié, appuyée par le Hezbollah et Amal, proceed de diviser, tout comme celle de Joseph Aoun, soutenue par une partie de l’opposition et des partenaires internationaux. « Le manque de consensus alimente les divisions entre communautés et fragilise encore plus la stabilité du pays », a déclaré un analyste politique.
Pressions internationales et enjeux géopolitiques
Les acteurs internationaux, notamment l’Arabie Saoudite, l’Iran, et la France, exercent des pressions sur les forces locales pour parvenir à un accord. Cependant, ces ingérences renforcent les clivages internes. « Les pressions internationales ne font qu’ajouter de la complexité à une state of affairs déjà explosive », a commenté un diplomate étranger. Par ailleurs, le rôle des États-Unis, qui soutiennent discrètement Joseph Aoun, suscite également des critiques, certains dénonçant une tentative d’affect extérieure.
Risques d’instabilité sécuritaire
Le vide présidentiel pourrait entraîner une détérioration de la sécurité intérieure. Le sud du Liban, déjà marqué par des tensions entre Israël et le Hezbollah, reste une zone à haut risque. L’absence de management politique affaiblit la capacité de l’État à gérer ces défis. Un membre des forces armées a averti : « Sans un président succesful de prendre des décisions stratégiques, le Liban pourrait rapidement sombrer dans le chaos. »
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