La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, s’est rendue au Liban dans un contexte de rigidity accrue au Moyen-Orient. Sa visite a marqué un geste de solidarité avec le Liban et une volonté affirmée de soutenir la mission des Nations Unies dans le sud du pays, un engagement essential au regard de la state of affairs unstable dans la région.
Une rencontre symbolique avec les dirigeants libanais
Arrivée à Beyrouth, Giorgia Meloni a immédiatement rencontré les dirigeants libanais, dont le président du Parlement, Nabih Berri, et le Premier ministre par intérim, Najib Mikati. Lors d’une conférence de presse conjointe, Mikati a souligné l’significance de cette visite à un second critique pour le Liban, un pays en proie à de multiples crises. Il a exprimé la gratitude du Liban envers l’Italie pour son soutien continu à la Power intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), qui joue un rôle essential dans le maintien de la paix dans le sud du pays.
Meloni, en visite pour exprimer la solidarité de l’Italie face aux défis actuels du Liban, a réaffirmé l’engagement de son pays en faveur de la paix et de la stabilité dans la région. Elle a également exprimé son soutien à l’armée libanaise, un pilier essentiel pour assurer la sécurité et la stabilité intérieure du pays.
Lors de sa visite, Giorgia Meloni a rencontré le président du Parlement libanais, Nabih Berri, à son siège à Aïn el-Tiné. La rencontre, qui a duré environ 40 minutes, a permis d’aborder les évolutions politiques et militaires récentes dans la région. Bien que Meloni n’ait pas fait de déclaration à sa sortie, cette entrevue témoigne de l’significance de la coopération entre l’Italie et le Liban face aux défis actuels.
Berri a remercié Meloni pour le soutien fixed de l’Italie, notamment à travers la contribution significative de troupes à la FINUL, une pressure multinationale dont le rôle est devenu d’autant plus essential dans le climat actuel de tensions avec Israël
L’significance du respect des résolutions internationales
Au cœur des discussions entre les deux dirigeants figurait la query de la guerre en cours dans le sud du Liban, alimentée par les tensions entre Israël et le Hezbollah. Mikati a insisté sur la nécessité de privilégier une answer diplomatique au conflit, rappelant que la clé réside dans le respect par Israël de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui appelle à un cessez-le-feu complet et au respect de la souveraineté libanaise. Il a également réaffirmé l’engagement du Liban à appliquer pleinement cette résolution et à renforcer la présence de l’armée dans le sud, en coopération avec la FINUL.
Meloni, pour sa half, a exprimé son soutien à cette approche diplomatique, tout en saluant le rôle very important de la FINUL. L’Italie, qui participe de manière significative à cette pressure, reste un acteur clé dans le maintien de la paix au Liban.
Le rôle essential de la FINUL et les tensions avec Israël
La FINUL, présente au Liban depuis 1978, a pour mission de maintenir la paix dans une région souvent secouée par des conflits entre Israël et le Hezbollah. Cependant, ces dernières années, la state of affairs s’est encore compliquée. Israël a intensifié ses critiques envers la FINUL, l’accusant d’inefficacité face aux activités du Hezbollah dans le sud du Liban. Les tensions ont atteint un level critique lorsque des menaces israéliennes ont évoqué la possibilité de remettre en query la présence même de la FINUL, un sujet abordé lors de la visite de Meloni.
Le gouvernement libanais, soutenu par Meloni, a fermement rejeté ces menaces, considérant toute remise en trigger de la mission de la FINUL comme une attaque contre la légitimité internationale. Pour le Liban, la présence de la FINUL est essentielle non seulement pour préserver la paix, mais aussi pour garantir une surveillance internationale des violations de la souveraineté libanaise par Israël.Malgré les demandes d’Israël de retirer la FINUL, Meloni a défendu fermement le maintien de la mission, estimant qu’un retrait constituerait une grave erreur qui nuirait à la crédibilité des Nations Unies et compromettrait la stabilité régionale. Pour Meloni, la mission de la FINUL, qui a été créée en 1978 et renforcée après la guerre de 2006, est essentielle pour surveiller le cessez-le-feu et aider à restaurer l’autorité de l’État libanais dans cette région smart.
Meloni a également rappelé l’significance du renforcement des capacités de l’armée libanaise, un level essential pour assurer que le Liban puisse un jour pleinement prendre en cost la sécurité de son territoire, en coopération avec la FINUL. Dans ce contexte, l’Italie proceed de fournir un soutien matériel et financier à l’armée libanaise pour qu’elle puisse remplir efficacement ses fonctions
Contexte actuel au Liban
La visite de Giorgia Meloni intervient à un second où le Liban est confronté à des défis économiques, politiques et sécuritaires majeurs. Le pays, qui est sans président depuis plusieurs mois, subit les effets des tensions régionales, notamment le conflit israélo-palestinien et les répercussions des sanctions internationales contre l’Iran. La state of affairs au sud du Liban est particulièrement préoccupante, avec des affrontements sporadiques entre le Hezbollah et l’armée israélienne.
La mission de la FINUL, malgré les critiques, reste un élément stabilisateur dans une région où les tensions peuvent dégénérer rapidement. Cependant, la coopération entre la FINUL et l’armée libanaise est primordiale pour éviter une escalade. Le renforcement des capacités de l’armée libanaise, largement soutenu par l’Italie, est donc vu comme un pilier indispensable pour garantir la sécurité et dissuader toute nouvelle confrontation.
La visite de Meloni, dans ce contexte, apparaît comme un sign fort de soutien européen à un Liban en crise. Toutefois, la pression reste forte sur le pays pour éviter d’être entraîné dans un nouveau conflit régional, alors que la state of affairs à la frontière sud demeure incertaine.
En conclusion, la solidarité exprimée par l’Italie à travers la visite de Giorgia Meloni au Liban s’inscrit dans un cadre de coopération historique entre les deux pays, mais elle soulève aussi des questions quant à l’avenir de la mission de la FINUL face aux tensions persistantes avec Israël. Pour le Liban, la clé réside dans le renforcement de ses establishments et la mise en œuvre des réformes politiques nécessaires pour éviter une nouvelle implosion.