– Commercial –
Le Premier ministre désigné, Nawaf Salam, proceed ses efforts pour former un gouvernement technocratique. Selon « Advert Diyar » (20 janvier 2025), Salam suggest une équipe ministérielle restreinte et indépendante pour faire face aux défis économiques et politiques. Cependant, les négociations restent marquées par des tensions entre les principaux blocs politiques, notamment le Hezbollah et le mouvement Amal, qui insistent sur leur représentation au sein du cupboard. La France et l’Arabie saoudite, deux partenaires internationaux clés, pressent les dirigeants libanais d’accélérer ce processus en garantissant des réformes structurelles.
Cessez-le-feu à Gaza : Une trêve sous haute surveillance
Après 15 mois de violence, un cessez-le-feu a été instauré entre Israël et le Hamas. Selon « Al Quds » (20 janvier 2025), l’accord inclut un échange de prisonniers et l’ouverture de corridors humanitaires. Négocié sous la médiation du Qatar et des États-Unis, cet accord est salué comme une avancée, mais des doutes persistent quant à sa durabilité. Les tensions régionales, exacerbées par le soutien de l’Iran au Hamas, continuent de peser sur les views d’une paix sturdy.
L’économie libanaise : Excédent budgétaire et défis monétaires
Le gouverneur intérimaire de la Banque du Liban, Wassim Mansouri, a annoncé un excédent budgétaire de 800 thousands and thousands de {dollars}, une première en 50 ans, selon « Al Joumhouriyat » (20 janvier 2025). Cependant, cet excédent a été obtenu au prix de coupes drastiques dans les subventions publiques, ce qui a aggravé les inégalités sociales. La stabilisation de la livre libanaise reste un défi majeur, avec une inflation galopante et une dépendance accrue envers les partenaires internationaux.
Donald Trump et le Moyen-Orient : Une politique polarisante
Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche suscite des attentes et des inquiétudes dans la région. « Al Sharq Al Awsat » (20 janvier 2025) rapporte que Trump pourrait renforcer son soutien à Israël tout en adoptant une posture plus ferme envers l’Iran. Cette approche risque de polariser davantage le Moyen-Orient, avec des répercussions directes pour le Liban, pris dans les rivalités régionales.
Criminalité en Syrie : Une saisie file de drogues
Les forces de sécurité syriennes ont intercepté une cargaison de deux tonnes de captagon dans le sud du pays, comme l’a rapporté « Al Akhbar » (20 janvier 2025). Cette opération met en lumière le rôle de la Syrie en tant que plaque tournante du trafic de drogue au Moyen-Orient. Les pays voisins, notamment l’Arabie saoudite et la Jordanie, appellent à une coopération renforcée pour lutter contre ce commerce illicite.
Politique locale : Enjeux et tensions autour de la formation du gouvernement libanais
Nawaf Salam et les défis de la formation d’un gouvernement
Le Premier ministre désigné, Nawaf Salam, poursuit ses efforts pour former un gouvernement technocratique, dans un contexte politique fragmenté. Selon « Advert Diyar » (20 janvier 2025), Salam suggest un cupboard restreint de 24 ministres, composé d’specialists indépendants pour accélérer les réformes économiques et sociales. Cependant, cette initiative rencontre une vive opposition de certains partis politiques, notamment le Hezbollah et le mouvement Amal, qui insistent sur une représentation dans des ministères stratégiques, comme les Travaux publics et la Santé.
Des négociations marquées par des tensions interpartis
Les discussions sur la répartition des portefeuilles ministériels se sont révélées difficiles. « Al Joumhouriyat » rapporte que la présidence du Parlement, dirigée par Nabih Berri, joue un rôle clé pour trouver un compromis entre les factions rivales. Les revendications de chaque bloc politique reflètent des intérêts divergents, aggravant les tensions et retardant la formation du gouvernement. Salam reste néanmoins ferme sur sa volonté de constituer un cupboard apolitique, ce qui complique encore les négociations.
Le rôle des partenaires internationaux
La formation du gouvernement est suivie de près par les partenaires internationaux, notamment la France et l’Arabie saoudite. Ces derniers insistent sur l’urgence de mettre en place un cupboard succesful de mener des réformes structurelles. « Al Liwa’ » rapporte que des engagements financiers, notamment ceux liés à l’aide économique, sont conditionnés à la mise en œuvre de ces réformes. Cependant, la lenteur des négociations compromet la crédibilité des dirigeants libanais sur la scène internationale.
Une crise économique qui aggrave les tensions politiques
L’deadlock politique amplifie les effets de la crise économique. La dévaluation proceed de la livre libanaise, couplée à une inflation galopante, aggrave la pauvreté et la précarité sociale. Selon « Al Akhbar », les tensions au sein de la inhabitants augmentent, avec des manifestations sporadiques contre la classe politique et les retards dans la mise en œuvre des réformes. Les discussions interminables sur la formation du gouvernement risquent de creuser davantage le fossé entre les citoyens et leurs dirigeants.
L’affect des factions armées dans le processus politique
Le rôle du Hezbollah dans les négociations reste un sujet controversé. Selon « Al Sharq Al Awsat », le groupe insiste sur la préservation de ses acquis politiques, tout en maintenant une posture publique en faveur d’un gouvernement steady et fonctionnel. Cette double stratégie, perçue par certains comme une tentative de domination, alimente les critiques des partis d’opposition et des acteurs internationaux.
Le rôle de Nabih Berri comme médiateur
Nabih Berri, président du Parlement, s’efforce de jouer un rôle de médiateur pour débloquer les discussions. Selon « Al Quds », il a proposé une répartition équilibrée des portefeuilles entre technocrates et représentants politiques afin de satisfaire toutes les events. Cependant, cette approche, bien qu’équilibrée, suscite des inquiétudes quant à la capacité du gouvernement à fonctionner de manière indépendante.
Des views incertaines pour la politique libanaise
Alors que les négociations se prolongent, l’avenir de la politique libanaise reste incertain. Sans consensus rapide, le risque d’un effondrement whole du système politique augmente. Cette scenario pourrait avoir des conséquences graves pour la stabilité sociale et économique du pays, compromettant les efforts de relance et d’aide internationale.
Diplomatie : Enjeux et initiatives sur la scène internationale
La visite imminente du ministre saoudien des Affaires étrangères
Le Liban se prépare à accueillir le ministre saoudien des Affaires étrangères, dans le cadre d’un effort pour renforcer les relations bilatérales entre les deux pays. Selon « Al Joumhouriyat » (20 janvier 2025), cette visite vise à consolider le soutien économique de l’Arabie saoudite, conditionné à des réformes structurelles. Des accords bilatéraux devraient être signés, portant sur des projets d’investissement dans les infrastructures et l’énergie, mais les détails restent à préciser.
Le rôle de la France dans le soutien au Liban
La France reste un acteur clé dans les initiatives diplomatiques concernant le Liban. « Al Liwa’ » rapporte que le président Emmanuel Macron envisage de convoquer une conférence internationale pour mobiliser l’aide économique et humanitaire, à situation que le Liban s’have interaction sur une feuille de route de réformes claires. Paris insiste particulièrement sur la transparence dans la gestion des fonds internationaux, un level qui a souvent été négligé dans le passé.
Les États-Unis et leur politique régionale
Le retour de Donald Trump à la présidence américaine modifie la dynamique diplomatique au Moyen-Orient. « Al Sharq Al Awsat » souligne que l’administration Trump adopte une posture plus ferme envers l’Iran, renforçant les sanctions et appelant ses alliés, dont le Liban, à s’aligner sur une politique de pression maximale. Cette politique risque d’amplifier les tensions entre le Liban et ses partenaires régionaux, en particulier ceux liés à Téhéran, comme le Hezbollah.
Le Qatar et la médiation régionale
Le Qatar joue un rôle actif dans la stabilisation du Liban, notamment en tant que médiateur dans les discussions régionales. Selon « Al Akhbar », Doha a récemment annoncé une help financière pour soutenir les petites et moyennes entreprises au Liban, tout en encourageant des réformes pour attirer davantage d’investissements. Cependant, cette aide reste conditionnée à une amélioration de la gouvernance économique.
La query des réfugiés syriens : un level de pressure
Avec plus de 1,5 million de réfugiés syriens sur son territoire, le Liban reste au centre des préoccupations internationales concernant la crise humanitaire en Syrie. « Al Quds » rapporte que des discussions sont en cours entre le Liban et ses partenaires européens pour financer des programmes d’aide et envisager un rapatriement progressif des réfugiés. Toutefois, ces négociations sont compliquées par des divergences sur les garanties de sécurité offertes aux réfugiés retournant en Syrie.
Les tensions autour des accords de normalisation avec Israël
Les récents accords de normalisation entre Israël et plusieurs pays arabes, notamment les Émirats arabes unis et Bahreïn, continuent d’avoir des répercussions sur la diplomatie libanaise. « Advert Diyar » indique que le Liban maintient sa place de non-normalisation tant que le conflit palestinien reste non résolu, mais cette posture isole davantage le pays sur la scène internationale.
La fragilité de la diplomatie libanaise
L’instabilité politique interne affecte la capacité du Liban à adopter une stratégie diplomatique cohérente. Les divisions entre factions politiques influencent directement la politique étrangère, rendant difficile la mise en œuvre d’initiatives durables. « Al Bina’ » souligne que cette fragmentation affaiblit la crédibilité du Liban auprès de ses partenaires internationaux, qui hésitent à investir dans un pays sans imaginative and prescient claire de son avenir.
Politique internationale : Dynamiques globales et régionales
Le retour de Donald Trump et ses implications mondiales
Le retour de Donald Trump à la présidence américaine marque un tournant dans la politique internationale. Selon « Al Sharq Al Awsat » (20 janvier 2025), Trump a annoncé une approche axée sur les intérêts américains, avec un durcissement des relations avec l’Iran et une priorité donnée à la sécurité d’Israël. Cette posture renforce les tensions au Moyen-Orient, mais elle affect également les relations avec l’Europe, qui reste attachée à l’accord sur le nucléaire iranien.
L’Iran sous pression internationale accrue
L’Iran fait face à un isolement croissant en raison des sanctions économiques rétablies par les États-Unis. « Advert Diyar » rapporte que Téhéran a intensifié ses relations économiques avec la Chine et la Russie pour contourner ces sanctions. Par ailleurs, des exercices militaires conjoints entre ces trois pays illustrent une tentative de contrebalancer l’affect américaine dans la région. Cependant, cette stratégie risque d’aggraver les tensions, notamment dans le détroit d’Ormuz, où transite une grande partie des exportations mondiales de pétrole.
Les accords de normalisation entre Israël et les pays arabes
La imprecise d’accords de normalisation entre Israël et des États arabes, initiée en 2020, proceed de redessiner les équilibres régionaux. Selon « Al Bina’ » (20 janvier 2025), les Émirats arabes unis et Bahreïn consolident leurs partenariats avec Israël dans des domaines stratégiques comme la technologie et la défense. Ces accords, bien que salués pour leur potentiel économique, suscitent des critiques parmi les pays qui soutiennent la trigger palestinienne.
La Chine et la Russie renforcent leur présence au Moyen-Orient
La Chine et la Russie accroissent leur affect dans la région grâce à des investissements et des partenariats stratégiques. « Al Akhbar » rapporte que la Chine a signé des accords économiques majeurs avec l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, tout en avançant ses projets liés à l’initiative « Belt and Highway ». De son côté, la Russie proceed de jouer un rôle déterminant en Syrie, où elle maintient une présence militaire significative et agit comme médiateur dans plusieurs conflits locaux.
Les tensions croissantes entre l’Europe et la Russie
En Europe, les tensions avec la Russie restent vives, notamment en raison des conflits en Ukraine et des cyberattaques imputées à Moscou. Selon « Al Joumhouriyat », les sanctions européennes contre la Russie se sont durcies, tandis que l’OTAN renforce sa présence dans les pays baltes et en Pologne. Ces tensions rappellent l’significance de la région dans les stratégies de sécurité globale.
Les initiatives climatiques en Afrique
Dans un contexte de crise climatique mondiale, plusieurs pays africains intensifient leurs efforts pour développer des énergies renouvelables. « Al Liwa’ » souligne que des projets solaires à grande échelle, notamment en Égypte et au Maroc, attirent des investissements internationaux massifs. Cependant, ces initiatives sont freinées par des défis structurels tels que l’instabilité politique et le manque d’infrastructures adaptées.
La course technologique entre les grandes puissances
La compétition technologique entre les États-Unis et la Chine s’intensifie, avec des implications globales. Selon « Al Quds », la Chine proceed de développer des applied sciences de pointe dans les domaines de la 5G et de l’intelligence artificielle, tandis que les États-Unis investissent massivement dans des programmes de recherche pour rester en tête. Cette rivalité, qui s’étend également à l’espace, façonne de nouvelles alliances et exacerbe les tensions géopolitiques.
Économie : Défis structurels et views de relance
L’excédent budgétaire annoncé par la Banque du Liban : une avancée limitée
Le gouverneur intérimaire de la Banque du Liban, Wassim Mansouri, a annoncé un excédent budgétaire de 800 thousands and thousands de {dollars}, une première depuis 50 ans. Selon « Advert Diyar » (20 janvier 2025), cet excédent est le résultat de mesures strictes de réduction des dépenses publiques, notamment dans les subventions aux secteurs de l’électricité et des carburants. Bien que cette annonce ait été saluée comme un signe de gestion budgétaire améliorée, elle est critiquée pour ses effets néfastes sur les ménages à faibles revenus, qui subissent une augmentation des coûts de base.
La stabilisation de la livre libanaise reste un défi
Malgré l’excédent budgétaire, la livre libanaise proceed de subir une forte dévaluation. « Al Joumhouriyat » rapporte que les mesures prises pour limiter la spéculation sur les devises ont eu un affect limité face à une économie dollarisée et un marché noir en pleine enlargement. Les specialists économiques soulignent que sans une restructuration complète du secteur bancaire, il sera not possible de stabiliser durablement la monnaie nationale.
Les attentes du FMI : un impediment ou une opportunité ?
La collaboration avec le Fonds monétaire worldwide (FMI) est considérée comme cruciale pour la relance économique. Selon « Al Akhbar », les négociations avec le FMI sont au level mort en raison de désaccords sur les réformes structurelles exigées, telles que la restructuration du secteur bancaire et la réduction du déficit public. Les responsables politiques libanais, divisés sur ces réformes, retardent l’approbation des lois nécessaires pour débloquer les financements.
Un secteur bancaire en pleine crise
Le secteur bancaire libanais, autrefois pilier de l’économie, traverse une crise sans précédent. Les fonds des déposants restent gelés depuis 2019, suscitant la méfiance envers les establishments financières. Selon « Al Sharq », la Banque centrale travaille sur des plans pour protéger ces fonds et renforcer la confiance, mais les résultats tardent à se matérialiser. Les critiques soulignent que l’absence de transparence dans la gestion des banques aggrave la scenario.
Les initiatives locales pour soutenir les PME
Les petites et moyennes entreprises (PME), qui constituent le cœur de l’économie libanaise, ont été gravement touchées par la crise. Selon « Al Liwa’ », des initiatives privées et des partenariats public-privé ont été lancés pour fournir des crédits à taux réduit et des formations aux entrepreneurs. Cependant, ces efforts restent marginaux et ne compensent pas les effets de la baisse du pouvoir d’achat et de l’instabilité monétaire.
L’affect des tensions internationales sur l’économie libanaise
Les sanctions internationales, notamment contre l’Iran, influencent indirectement l’économie libanaise. « Al Bina’ » rapporte que les restrictions sur les transactions bancaires et les transferts de fonds compliquent les relations commerciales du Liban avec ses partenaires régionaux. Par ailleurs, les fluctuations des prix du pétrole dans le contexte des tensions au Moyen-Orient ajoutent une pression supplémentaire sur l’économie.
Économie : Crise et initiatives pour la relance
Un excédent budgétaire sans précédent, mais des critiques sur les priorités
Le gouverneur intérimaire de la Banque du Liban, Wassim Mansouri, a annoncé un excédent budgétaire de 800 thousands and thousands de {dollars}, une première en 50 ans. Selon « Advert Diyar » (20 janvier 2025), cet excédent est principalement attribué à des coupes drastiques dans les subventions publiques, notamment sur l’électricité et les carburants. Bien que salué comme un progrès financier, cet excédent soulève des critiques pour son affect sur les ménages les plus vulnérables, confrontés à une hausse des coûts de la vie.
La stabilisation de la livre libanaise reste un défi majeur
Malgré cet excédent, la livre libanaise proceed de perdre de sa valeur face au greenback américain. « Al Joumhouriyat » rapporte que la Banque du Liban a mis en place des mécanismes de contrôle pour limiter la spéculation sur les devises, mais ces mesures n’ont pas suffi à enrayer la dévaluation. La persistance de cette instabilité monétaire aggrave l’inflation, qui touche particulièrement les produits de première nécessité.
Le FMI et les réformes attendues
La relance économique du Liban dépend largement de la conclusion d’un accord avec le Fonds monétaire worldwide (FMI). « Al Sharq Al Awsat » souligne que les négociations sont au level mort en raison de désaccords sur la répartition des pertes entre les banques, l’État et les déposants. Le FMI insiste sur des réformes structurelles, notamment la restructuration du secteur bancaire et l’amélioration de la transparence dans la gestion des funds publiques, des situations qui restent difficiles à remplir dans le contexte actuel.
Les petites entreprises en difficulté
La crise économique a gravement touché les petites et moyennes entreprises (PME), qui constituent l’épine dorsale de l’économie libanaise. « Al Akhbar » rapporte que près de 70 % des PME ont réduit leurs activités ou fermé leurs portes depuis 2019. Ces fermetures, combinées à une baisse de la consommation intérieure, freinent toute reprise économique significative.
Le rôle des partenariats public-privé
Face à la faiblesse des funds publiques, les chambres de commerce appellent à renforcer les partenariats public-privé (PPP) pour financer des projets d’infrastructure. « Al Liwa’ » rapporte que ces initiatives, bien qu’encourageantes, se heurtent à un cadre réglementaire encore peu attractif pour les investisseurs étrangers. Les retards dans la mise en œuvre de ces projets compromettent leur efficacité à lengthy terme.
L’aide internationale comme levier de relance
Les partenaires internationaux, notamment la France et l’Arabie saoudite, conditionnent leur aide à des réformes concrètes. « Al Quds » rapporte que des discussions sont en cours pour mobiliser des fonds supplémentaires, mais la lenteur des progrès politiques au Liban freine ces initiatives. Par ailleurs, les agences humanitaires internationales continuent de fournir une help d’urgence, mais ces efforts restent insuffisants face à l’ampleur de la crise.
Un système fiscal inefficace et inéquitable
Le système fiscal libanais, largement critiqué pour son inefficacité et son manque d’équité, est un autre frein à la relance économique. « Al Bina’ » indique que l’État peine à collecter les impôts en raison de l’évasion fiscale et de l’absence de mécanismes de contrôle fiables. Une réforme fiscale, incluant une taxation plus progressive et une lutte renforcée contre la fraude, est essentielle pour améliorer les recettes publiques.
Des views incertaines pour l’économie libanaise
Alors que les dirigeants tentent de promouvoir une imaginative and prescient de relance, les défis structurels et politiques restent majeurs. Sans un consensus rapide sur les réformes, le Liban risque de sombrer davantage dans la crise, compromettant toute likelihood de stabilisation économique et sociale.
Justice : Enjeux judiciaires et lutte contre la corruption
La réforme judiciaire au level mort
Malgré les appels répétés à réformer le système judiciaire libanais, les progrès restent limités. Selon « Advert Diyar » (20 janvier 2025), les initiatives visant à renforcer l’indépendance de la justice et à réduire l’ingérence politique n’ont pas abouti en raison des résistances des élites politiques. Cette paralysie freine les efforts pour lutter efficacement contre la corruption, un problème systémique qui gangrène les establishments du pays.
Les affaires de corruption en suspens
Plusieurs affaires de corruption majeures, impliquant des figures politiques et économiques influentes, stagnent dans les tribunaux. « Al Akhbar » rapporte que des dossiers liés à des détournements de fonds publics et des contrats douteux, notamment dans le secteur de l’électricité, restent non résolus. Cette lenteur judiciaire alimente le scepticisme de la inhabitants et renforce la méfiance envers les establishments.
La nomination des juges : un enjeu controversé
Le processus de nomination des juges, souvent influencé par des considérations politiques et confessionnelles, constitue un impediment majeur à l’indépendance de la justice. Selon « Al Joumhouriyat », des pressions exercées par des partis politiques sur les magistrats compliquent leur travail et minent la crédibilité du système judiciaire. Les specialists appellent à une réforme urgente pour garantir une sélection fondée sur le mérite et non sur des critères partisans.
Les revendications des mouvements citoyens
Les mouvements citoyens continuent de réclamer une justice équitable et transparente. « Al Liwa’ » rapporte que des manifestations sporadiques ont eu lieu à Beyrouth pour dénoncer l’impunité des responsables politiques impliqués dans des affaires de corruption. Ces mobilisations mettent en lumière l’exaspération de la inhabitants face à un système judiciaire perçu comme inefficace.
L’aide internationale pour la réforme judiciaire
Plusieurs partenaires internationaux, dont l’Union européenne et les Nations unies, ont proposé une help approach pour réformer le secteur judiciaire libanais. Selon « Al Sharq Al Awsat », ces initiatives incluent des formations pour les magistrats et des programmes visant à renforcer les establishments judiciaires. Cependant, leur efficacité reste limitée en l’absence d’un engagement clair de la half des autorités locales.
L’affaire de l’explosion du port de Beyrouth : un symbole de blocage judiciaire
L’enquête sur l’explosion du port de Beyrouth en 2020 reste l’un des exemples les plus marquants des dysfonctionnements du système judiciaire libanais. « Al Quds » rappelle que des pressions politiques ont entravé les investigations, empêchant les juges de convoquer ou d’inculper des responsables de haut niveau. Cette scenario exacerbe le sentiment d’impunité et renforce la méfiance envers la capacité de l’État à rendre justice.
Société : Crises sociales et mobilisations citoyennes
Une pauvreté en hausse alarmante
La crise économique prolongée au Liban a plongé une grande partie de la inhabitants dans la pauvreté. Selon « Al Joumhouriyat » (20 janvier 2025), plus de 80 % des familles vivent désormais sous le seuil de pauvreté, une scenario aggravée par l’inflation galopante et la dévaluation de la livre libanaise. Les régions rurales, souvent négligées par les politiques publiques, sont particulièrement touchées, avec un accès limité aux providers de base comme l’eau, l’électricité et les soins de santé.
Le chômage des jeunes : une bombe à retardement sociale
Le taux de chômage chez les jeunes dépasse 40 %, d’après « Advert Diyar ». Cette réalité pousse de nombreux diplômés à quitter le pays en quête de meilleures opportunités, privant le Liban de son capital humain. Les mouvements citoyens, comme le collectif « Youth for Change », mettent en lumière cette problématique, appelant à des réformes économiques inclusives pour intégrer les jeunes sur le marché du travail.
La crise des réfugiés syriens
Le Liban accueille toujours environ 1,5 million de réfugiés syriens, une cost qui exacerbe les tensions sociales. Selon « Al Quds », les communautés locales, déjà fragilisées par la crise économique, expriment de plus en plus de ressentiment envers les réfugiés, accusés de concurrencer les Libanais pour l’emploi et les ressources limitées. Cette scenario a conduit à des appels au rapatriement progressif des réfugiés, bien que les garanties de sécurité en Syrie restent insuffisantes.
L’explosion du port de Beyrouth : une cicatrice toujours ouverte
La société libanaise porte encore les stigmates de l’explosion du port de Beyrouth en 2020, qui a détruit des quartiers entiers et laissé des milliers de personnes sans abri. « Al Akhbar » rapporte que de nombreuses familles attendent toujours des compensations pour reconstruire leurs maisons. Les blocages judiciaires liés à l’enquête sur l’explosion renforcent le sentiment d’injustice et de méfiance envers les establishments.
Les mobilisations citoyennes pour un changement politique
Depuis 2019, les Libanais se mobilisent régulièrement pour exiger des réformes structurelles et une meilleure gouvernance. Selon « Al Liwa’ », les manifestations, bien qu’épisodiques, continuent de dénoncer la corruption, l’incompétence des dirigeants et l’effondrement des providers publics. Ces mouvements ont également contribué à une prise de conscience collective sur la nécessité d’une société civile plus forte.
Les inégalités entre les régions
La disparité entre Beyrouth et les régions rurales reste un problème majeur. « Al Sharq Al Awsat » rapporte que les investissements publics se concentrent principalement dans la capitale, laissant les zones périphériques sous-développées. Cette marginalisation alimente les frustrations et renforce les revendications pour une répartition équitable des ressources.
Des initiatives solidaires face à la crise
Malgré ces défis, de nombreuses initiatives solidaires émergent pour soutenir les populations vulnérables. Selon « Al Bina’ », des ONG locales et internationales distribuent des vivres, assurent des soins médicaux et offrent des formations professionnelles. Ces efforts pallient partiellement les carences de l’État, mais ils restent insuffisants face à l’ampleur des besoins.
Tradition : Événements, artistes et résilience du secteur culturel
Les « Pleasure Awards 2025 » : Une célébration régionale malgré la crise
Les « Pleasure Awards 2025 », organisés à Riyad, ont marqué un second clé pour le secteur culturel au Moyen-Orient. Cet événement a mis en avant des artistes de renom tels que Tamer Hosny, Amr Diab, et Nancy Ajram, qui ont été récompensés pour leurs contributions à la musique arabe, selon « Al Sharq Al Awsat » (20 janvier 2025). Bien que tenu hors du Liban, cet événement a offert une visibilité importante à des artistes libanais et a souligné leur résilience malgré les défis économiques.
Le Competition worldwide du movie de Beyrouth : Une édition en mode réduit
Le Competition worldwide du movie de Beyrouth a rouvert ses portes cette année, bien que dans un format réduit. Selon « Al Joumhouriyat », l’édition 2025 s’est concentrée sur des documentaires locaux explorant des thèmes liés à la crise économique, à l’explosion du port de Beyrouth et à l’émigration des jeunes. Des réalisateurs comme Nadine Labaki et Ziad Doueiri ont présenté leurs œuvres, apportant un éclairage worldwide sur les réalités libanaises.
Des live shows pour soutenir la tradition locale
En réponse à la crise économique, plusieurs artistes libanais, dont Ragheb Alama et Carole Samaha, ont organisé des live shows à however caritatif. Selon « Advert Diyar », ces événements ont permis de collecter des fonds pour soutenir des initiatives culturelles locales et aider les jeunes abilities à se faire connaître malgré le manque de ressources. Ces artistes jouent un rôle essentiel en maintenant une dynamique culturelle lively et en offrant des moments de répit à une inhabitants en détresse.
Les galeries d’artwork comme refuge pour l’expression
Les galeries d’artwork, bien que touchées par la crise, continuent de représenter un espace d’expression pour les artistes libanais. « Al Liwa’ » rapporte que des expositions comme « Résilience en temps de crise » à Beyrouth ont attiré l’consideration internationale, mettant en lumière des œuvres traitant de thèmes comme la migration, la mémoire et la reconstruction. Ces galeries deviennent des espaces de dialogue et de réflexion sur les défis sociétaux.
La musique électronique libanaise gagne en reconnaissance
La scène musicale électronique libanaise, portée par des artistes comme DJ Cosmicat et Jade, apparel de plus en plus d’consideration à l’étranger. « Al Akhbar » souligne que ces artistes, qui se produisent dans des festivals internationaux, deviennent des ambassadeurs de la tradition libanaise contemporaine. Cette popularité internationale compense partiellement la réduction des événements locaux en raison des contraintes financières.
L’affect des initiatives numériques
La pandémie de COVID-19 a accéléré l’adoption des plateformes numériques pour la diffusion d’événements culturels. Selon « Al Quds », plusieurs théâtres et troupes libanaises, comme le Théâtre Monnot, proposent désormais des spectacles en ligne pour toucher un public plus massive, y compris dans la diaspora. Cette transition vers le numérique aide les artistes à rester visibles malgré les obstacles économiques.
Les défis pour la préservation du patrimoine culturel
Le patrimoine culturel libanais, notamment les websites historiques de Beyrouth et de Baalbek, reste en hazard. Selon « Al Bina’ », des projets de restauration, financés par l’UNESCO et l’Union européenne, sont en cours, mais leur avancée est lente en raison de la bureaucratie et du manque de fonds locaux. Ces websites représentent un atout touristique majeur et un lien important avec l’histoire du pays.
Sport : Performances remarquables et défis persistants
Des performances internationales qui inspirent
Malgré les défis économiques et sociaux, les athlètes libanais continuent de se distinguer sur la scène internationale. Selon « Al Akhbar » (20 janvier 2025), l’équipe nationale de basketball a brillé lors des {qualifications} pour le championnat asiatique, battant des équipes comme la Jordanie et les Philippines. Cette victoire reflète la résilience et le expertise des sportifs libanais, qui se battent pour représenter leur pays malgré un manque chronique de financement.
Les athlètes individuels en tête d’affiche
Des sportifs comme Andrea Paoli, en taekwondo, et Ray Bassil, en tir sportif, poursuivent leur carrière avec succès. Selon « Advert Diyar », Paoli a récemment remporté une médaille d’argent lors des championnats asiatiques, tandis que Bassil a décroché une médaille de bronze lors d’une compétition internationale à Doha. Ces succès mettent en lumière le potentiel des athlètes libanais, souvent soutenus par des initiatives personnelles ou des sponsors étrangers.
Le soccer libanais dans la tourmente
La première division de soccer libanaise connaît des difficultés financières importantes. « Al Joumhouriyat » rapporte que plusieurs golf equipment luttent pour payer les salaires de leurs joueurs et maintenir leurs activités. Malgré cela, des joueurs comme Mohamad Haidar et Hassan Maatouk continuent d’attirer l’consideration grâce à leurs performances sur le terrain, renforçant l’espoir d’une amélioration future pour ce sport populaire.
Le marathon de Beyrouth : Un symbole de résilience
Le marathon de Beyrouth 2025, qui a rassemblé plus de 10 000 members, a été un second marquant pour la scène sportive libanaise. Selon « Al Liwa’ », cet événement annuel, organisé malgré les défis logistiques, a célébré l’esprit de résilience et de solidarité nationale. Les fonds collectés ont été partiellement utilisés pour soutenir des initiatives sociales et sportives locales, illustrant le rôle du sport comme moteur de changement positif.
Le karaté et les arts martiaux en plein essor
Les arts martiaux continuent de gagner en popularité au Liban, notamment grâce aux performances de jeunes abilities. « Al Quds » rapporte que des athlètes comme Karim Sabeh ont remporté des médailles lors des championnats régionaux de karaté. Ces disciplines offrent une various accessible pour les jeunes, dans un contexte où les infrastructures sportives traditionnelles sont souvent insuffisantes.
Les défis des infrastructures sportives
Le manque d’investissement dans les infrastructures sportives reste un impediment majeur. « Al Sharq Al Awsat » souligne que de nombreux stades et terrains de sport sont en mauvais état, limitant l’accès des jeunes aux activités physiques. Cette scenario renforce les inégalités entre les régions, où les zones rurales sont particulièrement négligées.
Les initiatives pour soutenir le sport native
Malgré les défis, des initiatives émergent pour revitaliser le sport au Liban. Selon « Al Bina’ », des ONG et des mécènes locaux financent des tournois scolaires et des programmes de formation pour les jeunes athlètes, cherchant à promouvoir une tradition sportive plus inclusive. Ces efforts sont essentiels pour préparer une nouvelle génération de sportifs capables de briller sur la scène internationale.
Worldwide : Actualités et dynamiques mondiales
L’accord de cessez-le-feu à Gaza : Une trêve fragile
Un cessez-le-feu a été conclu entre Israël et le Hamas après 15 mois de violences. Selon « Al Sharq Al Awsat » (20 janvier 2025), cet accord, négocié par le Qatar et les États-Unis, inclut un échange de prisonniers et l’ouverture de corridors humanitaires. Cependant, les critiques soulignent l’absence d’un cadre sturdy pour la paix, laissant les habitants de Gaza dans l’incertitude. Les tensions entre Israël et les factions palestiniennes pourraient rapidement réapparaître.
Sanctions renforcées contre l’Iran
Les États-Unis, sous l’administration Trump, ont intensifié les sanctions contre l’Iran. Selon « Advert Diyar », ces mesures visent à limiter les capacités économiques et militaires de Téhéran, tout en augmentant les pressions sur ses alliés régionaux comme le Hezbollah. En réponse, l’Iran a renforcé ses partenariats économiques avec la Chine et la Russie, élargissant sa stratégie pour contrer l’isolement imposé par l’Occident.
Les accords de normalisation entre Israël et les pays arabes
Les récents accords de normalisation entre Israël et des États du Golfe continuent de transformer les relations régionales. « Al Bina’ » rapporte que ces partenariats économiques et sécuritaires renforcent la coopération entre Israël, les Émirats arabes unis, et Bahreïn. Ces accords, bien que salués pour leur potentiel économique, suscitent des critiques des factions palestiniennes et de certains pays arabes comme l’Algérie.
L’Ukraine et la guerre prolongée
En Europe, la guerre en Ukraine reste au centre des préoccupations internationales. Selon « Al Joumhouriyat », les tensions entre la Russie et l’OTAN se sont intensifiées, avec une augmentation des livraisons d’armes occidentales à Kiev. La Russie, de son côté, multiplie les offensives dans l’est du pays, mettant à l’épreuve la résilience de l’armée ukrainienne et les efforts diplomatiques pour mettre fin au conflit.
Le rôle croissant de la Chine au Moyen-Orient
La Chine renforce son affect dans la région par des accords économiques majeurs. Selon « Al Akhbar », Pékin a signé des partenariats stratégiques avec l’Arabie saoudite et l’Iran, étendant son rôle dans le secteur de l’énergie et des infrastructures. Ce rapprochement économique pourrait redistribuer les cartes géopolitiques et remettre en query la domination traditionnelle des États-Unis dans la région.
Les initiatives climatiques en Afrique
En réponse à la crise climatique, plusieurs pays africains ont lancé des projets ambitieux dans le domaine des énergies renouvelables. « Al Liwa’ » rapporte que le Maroc, l’Égypte et le Kenya développent des parcs solaires et éoliens avec le soutien d’investisseurs internationaux. Cependant, ces efforts sont freinés par des défis structurels tels que l’instabilité politique et le manque d’infrastructures adaptées.
Les avancées technologiques dans la course mondiale
La compétition technologique entre les États-Unis et la Chine s’intensifie. Selon « Al Quds », les deux puissances investissent massivement dans l’intelligence artificielle, les applied sciences de la 5G et l’exploration spatiale. Cette course pour la suprématie technologique redéfinit les alliances internationales et pose des questions sur les implications éthiques et stratégiques.
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