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Les politiques de Donald Trump au Moyen-Orient continuent de susciter des débats, en particulier en ce qui concerne leurs conséquences sur les relations entre Israël et les États-Unis. Alors que certaines initiatives, comme les Accords d’Abraham, ont été saluées pour avoir renforcé les liens entre Israël et plusieurs pays arabes, d’autres décisions controversées, notamment sur la Cisjordanie et les colonies, ont alimenté les tensions et compliqué les relations bilatérales.
Accords d’Abraham : Des succès diplomatiques mitigés
Les Accords d’Abraham, signés en 2020 sous l’administration Trump, ont marqué une étape importante dans la normalisation des relations entre Israël et plusieurs pays arabes, dont les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Maroc et le Soudan. Ces accords ont été perçus comme un succès diplomatique majeur pour Trump, mais leur affect sur la stabilité régionale reste limité. Selon Al Diyar (22 janvier 2025), certains observateurs estiment que ces accords ont davantage servi les intérêts stratégiques d’Israël que ceux des pays arabes signataires.
Un ancien diplomate américain, cité par Al Quds Al Arabi (22 janvier 2025), a déclaré : « Bien que les Accords d’Abraham aient été une avancée, ils n’ont pas résolu le conflit israélo-palestinien, qui reste une query centrale pour la paix régionale. »
Les colonies en Cisjordanie : Une décision controversée
L’une des décisions les plus critiquées de Trump a été son soutien explicite à l’growth des colonies israéliennes en Cisjordanie. Cette politique a été dénoncée par les Palestiniens et une grande partie de la communauté internationale comme une violation du droit worldwide. Selon Al Akhbar (22 janvier 2025), cette approche a sapé les views de création d’un État palestinien viable et a exacerbé les tensions entre les deux communautés.
La reconnaissance de la souveraineté israélienne sur des territoires disputés a également provoqué des frictions avec les alliés traditionnels des États-Unis, notamment en Europe. Un analyste cité par Al Joumhouriyat (22 janvier 2025) a souligné : « Cette politique unilatérale a renforcé la méfiance envers les États-Unis et compliqué leur rôle de médiateur neutral dans le conflit. »
L’Iran : Une politique de pression maximale
La stratégie de Trump envers l’Iran, fondée sur une politique de « pression maximale », a consisté à réimposer des sanctions économiques sévères après le retrait des États-Unis de l’accord sur le nucléaire en 2018. Si cette approche visait à limiter les ambitions nucléaires iraniennes et à affaiblir son affect régionale, elle a également conduit à une escalade des tensions.
Selon Nida’ Al Watan (22 janvier 2025), cette politique a renforcé les factions radicales en Iran, tout en isolant les États-Unis de leurs alliés européens, qui continuaient à soutenir l’accord nucléaire. Un responsable iranien a déclaré : « La politique de Trump a échoué à atteindre ses objectifs tout en augmentant les souffrances du peuple iranien. »
Relations Israël–États-Unis sous pression
Malgré une relation historiquement forte, les politiques de Trump ont parfois mis à l’épreuve les liens entre Israël et les États-Unis. Selon Al Quds Al Arabi (22 janvier 2025), la reconnaissance par Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël et le transfert de l’ambassade américaine ont été perçus comme des gestes symboliques importants, mais ils ont également isolé Israël sur la scène internationale.
Sous l’administration Biden, les relations ont évolué, avec un retour à une approche multilatérale dans la région. Cependant, l’héritage des décisions de Trump proceed d’influencer les dynamiques bilatérales. Un skilled cité par Al Sharq (22 janvier 2025) a déclaré : « L’approche unilatérale de Trump a laissé des cicatrices profondes, rendant difficile la restauration d’une confiance totale entre Israël et les États-Unis. »
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