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En 2025, le Liban prévoit une croissance économique de 4,7 %, avec un PIB atteignant 20,1 milliards USD, mais cette development reste superficielle dans un contexte de crise désordonnée. Le manque de progrès dans les réformes structurelles, notamment dans la restructuration des banques et le système financier, empêche le pays d’avancer vers une stabilisation sturdy. L’absence de réformes fiscales, monétaires et économiques fondamentales, ainsi que l’échec à auditer les banques, freinent les négociations avec le Fonds monétaire worldwide (FMI) et la confiance des investisseurs.
prévisions économiques principales pour 2025
indicateur | 2024 (prévisions) | 2025 (prévisions) | variation (%) |
---|---|---|---|
PIB (USD) | 19,2 milliards | 20,1 milliards | +4,7 % |
Inflation annuelle | 148 % | 125 % | -23 factors |
Taux de chômage | 29 % | 26 % | -3 factors |
Envois de fonds des expatriés (USD) | 6,8 milliards | 7,2 milliards | +5,9 % |
Malgré une croissance prévue du PIB et une baisse modeste de l’inflation, le Liban reste dans une trajectoire de crise désordonnée. L’inflation élevée à 125 % et un taux de chômage critique de 26 % témoignent de l’incapacité à rétablir les fondamentaux macroéconomiques.
le blocage des réformes structurelles
- absence de progrès dans la restructuration des banques : Les banques libanaises, paralysées depuis 2019, n’ont toujours pas été auditées, un prérequis clé pour les négociations avec le FMI. Cette opacité entrave la possibilité d’un plan de restructuration viable et réduit la confiance des déposants.
- réformes fiscales au level mort : Les mesures nécessaires pour réduire le déficit budgétaire, comme une réforme des impôts et des subventions, n’ont pas été mises en œuvre. Le Liban proceed de financer son déficit par des mécanismes inflationnistes, aggravant l’instabilité.
- système financier dysfonctionnel : L’absence de progrès dans la modernisation du système financier, notamment par la digitalisation et la régulation des flux de capitaux, exacerbe l’évasion fiscale et la fuite des devises.
facteurs externes et opportunités limitées
- flux financiers de la diaspora : Les envois de fonds des expatriés devraient atteindre 7,2 milliards USD en 2025, représentant une bouée de sauvetage temporaire, mais insuffisante pour une reprise sturdy.
- absence d’accord avec le FMI : Le manque de transparence et de réformes structurelles empêche toute avancée dans les négociations avec le FMI, privant le Liban d’un financement externe indispensable.
- marché exportateur régional : Les exportations vers les marchés voisins offrent une opportunité de diversification des revenus, mais leur croissance est limitée par des coûts élevés de manufacturing et des infrastructures défaillantes.
secteurs clés en 2025 : des moteurs insuffisants
- secteur manufacturier : La pénurie de compétences qualifiées et l’absence d’investissements dans les applied sciences modernes freinent la compétitivité.
- secteur bancaire : Sans audit des banques et plan de restructuration, les establishments financières restent paralysées, limitant l’accès au crédit et la reprise économique.
- tourisme : Bien qu’un rebond des arrivées touristiques soit prévu, son influence reste marginal dans l’absence d’un environnement économique favorable.
establishments clés et leur rôle
- Fonds monétaire worldwide (FMI) : Organisation internationale offrant des financements conditionnés à des réformes structurelles. En 2025, les négociations avec le Liban stagnent en raison de l’absence d’audit des banques et de transparence budgétaire.
- Banque centrale du Liban : Chargée de la politique monétaire, elle peine à stabiliser le taux de change et à contenir l’inflation sans réformes gouvernementales de soutien.
- diaspora libanaise : Avec ses envois de fonds représentant près de 16 % du PIB, elle reste un pilier économique, bien que sa contribution soit insuffisante pour résoudre les déséquilibres structurels.
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