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Un message d’espoir malgré une crise persistante
Lors d’une visite à Beyrouth le 30 décembre 2024, Amos Hochstein, conseiller principal pour la sécurité énergétique des États-Unis, a déclaré que le Liban avait « une opportunité distinctive pour sortir de la crise économique et politique ». Ces propos, rapportés par « Nahar Worldwide » (2 janvier 2025), interviennent alors que le pays traverse une des périodes les plus difficiles de son histoire moderne, marquée par une inflation galopante, une monnaie en chute libre et une paralysie politique prolongée.
Un contexte de crise multiforme
Le Liban est confronté à des défis sans précédent, exacerbés par la vacance présidentielle qui dure depuis plus de deux ans. Selon « Al Quds » (2 janvier 2025), cette scenario empêche la mise en œuvre des réformes économiques nécessaires pour débloquer les financements internationaux, notamment ceux du FMI. Hochstein a souligné que des mesures rapides et décisives étaient indispensables pour restaurer la confiance des investisseurs et des partenaires internationaux.
Le rôle des ressources énergétiques dans la relance
Amos Hochstein a mis en avant le potentiel énergétique du Liban, en particulier après l’accord de démarcation maritime signé avec Israël en 2023. Cet accord ouvre la voie à l’exploration et à l’exploitation des ressources gazières offshore, qui pourraient générer des revenus considérables pour le pays. « Al Arabi Al Jadid » (2 janvier 2025) rapporte que Hochstein a exhorté les dirigeants libanais à accélérer les démarches pour attirer des investissements dans ce secteur stratégique.
Une responsabilité collective des dirigeants politiques
Hochstein a également insisté sur la nécessité d’une unité politique pour sortir de l’deadlock actuelle. « Le Liban ne peut pas se permettre davantage de divisions », a-t-il déclaré, selon « Al Sharq Al Awsat » (2 janvier 2025). Il a appelé les dirigeants libanais à mettre de côté leurs différends partisans et à se concentrer sur l’intérêt nationwide, en élisant rapidement un président et en formant un gouvernement succesful de relever les défis.
Les défis liés à la mise en œuvre des réformes
La mise en œuvre des réformes économiques et structurelles, indispensables pour relancer l’économie, reste un défi majeur. Selon « Nahar » (2 janvier 2025), ces réformes incluent la restructuration du secteur bancaire, l’amélioration de la gouvernance publique et la lutte contre la corruption. Cependant, l’absence de consensus politique freine ces initiatives, et la inhabitants proceed de subir les conséquences de cette inaction.
Réactions internationales et régionales
Les propos de Hochstein ont été bien accueillis par la communauté internationale, qui soutient les efforts pour stabiliser le Liban. Cependant, certains analystes soulignent que les pressions extérieures risquent de compliquer les négociations internes. « Nahar Worldwide » (2 janvier 2025) rapporte que plusieurs acteurs régionaux, dont la France et l’Arabie saoudite, continuent de jouer un rôle actif pour encourager un consensus politique.
Un appel à saisir l’opportunité
En conclusion de sa visite, Amos Hochstein a rappelé que le Liban ne pouvait se permettre de manquer cette opportunité. « C’est un second décisif pour votre pays », a-t-il déclaré, en appelant à une mobilisation collective pour mettre en œuvre les réformes nécessaires. Son message reflète l’espoir que, malgré les défis, le Liban puisse sortir de la crise et reconstruire son avenir sur des bases solides.
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