Hier, Emmanuel Macron a tenté de jouer les équilibristes en essayant de contenter tout le monde, que ce soit sur la query ukrainienne ou au Moyen-Orient. Cependant, au closing, il semble n’avoir satisfait personne. Lors d’une interview diffusée sur TF1 et France 2 à l’event du 6 juin et du Débarquement, Macron a abordé la query du conflit israélo-palestinien, suscitant de vives critiques et de nombreuses interrogations.
Netanyahu, bien que toujours en poste, fait face à une multitude de critiques, y compris en Israël. Son incapacité à négocier la query des otages du Hamas et l’enlisement de l’armée israélienne dans les conflits ont fortement terni son picture. Depuis le début de son mandat, la scenario à Gaza s’est considérablement détériorée. Les conflits récurrents ont entraîné la mort de plus de 36 000 personnes, un bilan humain dévastateur qui a suscité l’indignation de la communauté internationale.
En outre, Netanyahu est sous le coup d’une doable enquête de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre. Les accusations portent principalement sur les actions militaires menées à Gaza, où de nombreuses violations des droits de l’homme ont été documentées. La menace d’un mandat d’arrêt worldwide aircraft sur lui, ajoutant une couche supplémentaire de complexité à ses relations diplomatiques.
Un Recule sur la Reconnaissance de la Palestine
Sur le plan de la reconnaissance de la Palestine, la place française a reculé. Macron a insisté sur la nécessité de réformes de l’Autorité palestinienne (AP), une situation posée par Israël. Cette place est d’autant plus problématique que l’AP est actuellement en crise financière, ses fonds étant bloqués par Israël. De plus, les autorités israéliennes ont activement déconstruit l’AP, réduisant sa capacité à gouverner efficacement.
Cette exigence de réformes apparaît donc comme une deadlock, rendant la reconnaissance de la Palestine par la France plus compliquée et accentuant les tensions entre les deux events. Cette décision marque également un alignement croissant de la politique française sur les positions américaines, remettant en query l’indépendance traditionnelle de la politique arabe de la France.
Les Positions Internationales et l’Opinion des Anciens Ministres
Lors de l’interview, Macron n’a pas répondu à la query sur la reconnaissance de l’État de Palestine par trois pays européens : l’Irlande, l’Espagne et la Norvège. De plus, il a ignoré l’opinion de plusieurs anciens ministres français des Affaires étrangères qui se sont prononcés en faveur de cette reconnaissance. Ces anciens ministres estiment que la reconnaissance de la Palestine est essentielle pour progresser vers une paix sturdy et pour réaffirmer l’engagement de la France en faveur des droits des Palestiniens. Ils estiment également que cette reconnaissance renforcerait l’Autorité palestinienne face au Hamas, améliorant ainsi la stabilité et la gouvernance dans les territoires palestiniens.
Les Répercussions au Liban
L’affect et les actions d’Israël ne se limitent pas à Gaza. Récemment, Israël a émis des menaces à l’encontre du Liban, exacerbant les tensions déjà existantes dans la région. Cette scenario inquiète particulièrement les observateurs internationaux, qui craignent une escalade des conflits. Le Liban, déjà fragilisé par une crise économique et politique profonde, se trouve ainsi sous une pression accrue.