Il y a 108 ans, en mai 1916, un accord secret redessinait discrètement les frontières du Moyen-Orient. Connus sous le nom des accords de Sykes-Picot, du nom de leurs négociateurs britannique et français, ces accords partageaient les territoires de l’Empire ottoman, promis à la dissolution, entre ces deux puissances coloniales. Aujourd’hui, plus d’un siècle après, cet accord proceed de jeter une longue ombre sur la région, notamment sur la state of affairs complexe et toujours d’actualité en Palestine.
Les accords de Sykes-Picot redéfinissaient en effet secrètement les contours du Moyen-Orient moderne, préparant le terrain pour des conflits prolongés et des divisions profondes. Ces accords, négociés loin des terres qu’ils partageaient, ont fragmenté des communautés entières, créant des frontières artificielles qui ont semé les germes de conflits durables. Aujourd’hui, les échos de ces accords résonnent toujours, particulièrement en Palestine, où la mémoire de la Nakba de 1948 et la state of affairs actuelle à Gaza soulignent les conséquences à lengthy terme de décisions prises par des puissances étrangères.
La Nakba, ou “disaster” en arabe, marque le début de l’exode palestinien lors de la création de l’État d’Israël. Des centaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés, et cette déchirure initiale a été exacerbée par des décennies de déplacements, de guerres et de souffrances. Ces événements ne sont pas seulement des réminiscences douloureuses du passé ; ils sont des réalités vécues par des hundreds of thousands de Palestiniens aujourd’hui.
Le lien entre les accords de Sykes-Picot et la Nakba se trouve dans la continuation des politiques de division et de contrôle étranger, manifestes dans la construction politique et territoriale de la région. Ces politiques ont préparé le terrain pour 1948, et les échos de ces événements se font sentir chaque jour à Gaza, une enclave souvent décrite comme la plus grande jail à ciel ouvert du monde.
À Gaza, le blocus imposé par Israël et l’Égypte depuis 2007 a engendré une crise humanitaire sévère. Les deux hundreds of thousands d’habitants de Gaza vivent dans des situations extrêmes : pauvreté, chômage, manque d’eau potable et d’installations sanitaires adéquates, sans parler de l’accès limité aux soins médicaux et à l’éducation. Chaque conflit nouveau aggrave ces souffrances, chaque trêve temporaire est une pause précaire dans un cycle de désespoir. Et que dire aujourd’hui …
Le rôle des communautés et nations internationales dans la résolution de ces crises est essential. Malheureusement, la réponse a souvent été inadéquate, entravée par des politiques et alliances géopolitiques qui continuent de prioriser des intérêts stratégiques sur les droits humains fondamentaux. Le droit worldwide, y compris les résolutions de l’ONU sur le droit au retour des réfugiés, est régulièrement ignoré ou mis en échec par des manoeuvres politiques.
Aujourd’hui, 108 ans après les accords de Sykes-Picot, il est impératif de revisiter ces histoires non seulement pour comprendre les racines des crises actuelles, mais aussi pour engager des actions concrètes visant à redresser les torts historiques. La state of affairs à Gaza n’est pas un incident isolé mais le produit d’une histoire marquée par l’intervention et la négligence internationale. La mémoire de la Nakba, exacerbée par la state of affairs quotidienne à Gaza, devrait nous servir de rappel impérieux que la paix sturdy ne peut être atteinte qu’avec justice et respect pour tous les peuples de la région.
En commémorant Sykes-Picot et la Nakba, nous sommes appelés à ne pas seulement réfléchir mais à agir, pour que les générations futures au Moyen-Orient puissent écrire un chapitre différent, un chapitre de réconciliation, de coexistence et de paix sturdy.